Guide de Christian

Christian
Guide de Christian

Gastronomie

Édifice spectaculaire, l’emplacement retenu se situe sur le site des anciennes forges du grand port maritime de Bordeaux, dans le nouveau quartier des Bassins à flot, sur l’îlot compris entre le quai Bacalan, l'entrée des écluses et la Garonne. La forme du bâtiment, tout en rondeurs, à l’extérieur comme à l’intérieur, a été conçue par les architectes de l’agence XTU (Anouk Legendre et Nicolas Desmazières) et par l'agence anglaise de scénographie Casson Mann Limited qui ont voulu en faire un édifice emblématique à forte visibilité. La structure a une forme de cep de vigne noueux « pour rappeler à la fois un vin tournant dans un verre et les remous de la Garonne, qui borde le site ». L’édifice de 9 000 m3 de béton repose sur 300 pieux en béton descendant jusqu’à 30 mètres de profondeur. La structure est recouverte de 918 panneaux de verre de trois couleurs : verre clair, gris (teinté dans la masse) et doré, et de 2 300 panneaux d’aluminium de tailles différentes. Sa façade est constituée de panneaux de verre sérigraphiés et de panneaux d’aluminium laqués irisés perforés[26]. La tour culmine à 55 mètres[27]. Le bâtiment a une superficie de 13 350 m2, répartis en 8 niveaux différents. Outre les espaces d’exposition, salon de lecture, des ateliers découvertes (dégustation, accord mets et vins, etc.), et un auditorium de 250 places accueillant tout au long de l'année des événements et spectacles, le parcours permanent, un voyage immersif à travers le temps et l'espace à la découverte du vin comme patrimoine culturel, universel et vivant, y compris pour les enfants, le clou de ce bâtiment se niche au 7e étage où est installé un restaurant panoramique (Le 7), avec, au 8e étage, un belvédère qui offre, à 35 mètres de haut, une vue panoramique à couper le souffle sur la ville et le port de la Lune avec une salle de dégustation. À ne pas manquer ! Accès : sur les quais par le tram B - direction : Claveau ou Berges de la Garonne - station :« Cité du vin ». (Depuis l’habitation prendre le tram direction : Centre-Ville (Floirac- Dravemont ou Cenon-La Gardette) puis correspondance tram B à la station « hôtel de ville ».
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A bor városa
134 Quai de Bacalan
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Édifice spectaculaire, l’emplacement retenu se situe sur le site des anciennes forges du grand port maritime de Bordeaux, dans le nouveau quartier des Bassins à flot, sur l’îlot compris entre le quai Bacalan, l'entrée des écluses et la Garonne. La forme du bâtiment, tout en rondeurs, à l’extérieur comme à l’intérieur, a été conçue par les architectes de l’agence XTU (Anouk Legendre et Nicolas Desmazières) et par l'agence anglaise de scénographie Casson Mann Limited qui ont voulu en faire un édifice emblématique à forte visibilité. La structure a une forme de cep de vigne noueux « pour rappeler à la fois un vin tournant dans un verre et les remous de la Garonne, qui borde le site ». L’édifice de 9 000 m3 de béton repose sur 300 pieux en béton descendant jusqu’à 30 mètres de profondeur. La structure est recouverte de 918 panneaux de verre de trois couleurs : verre clair, gris (teinté dans la masse) et doré, et de 2 300 panneaux d’aluminium de tailles différentes. Sa façade est constituée de panneaux de verre sérigraphiés et de panneaux d’aluminium laqués irisés perforés[26]. La tour culmine à 55 mètres[27]. Le bâtiment a une superficie de 13 350 m2, répartis en 8 niveaux différents. Outre les espaces d’exposition, salon de lecture, des ateliers découvertes (dégustation, accord mets et vins, etc.), et un auditorium de 250 places accueillant tout au long de l'année des événements et spectacles, le parcours permanent, un voyage immersif à travers le temps et l'espace à la découverte du vin comme patrimoine culturel, universel et vivant, y compris pour les enfants, le clou de ce bâtiment se niche au 7e étage où est installé un restaurant panoramique (Le 7), avec, au 8e étage, un belvédère qui offre, à 35 mètres de haut, une vue panoramique à couper le souffle sur la ville et le port de la Lune avec une salle de dégustation. À ne pas manquer ! Accès : sur les quais par le tram B - direction : Claveau ou Berges de la Garonne - station :« Cité du vin ». (Depuis l’habitation prendre le tram direction : Centre-Ville (Floirac- Dravemont ou Cenon-La Gardette) puis correspondance tram B à la station « hôtel de ville ». 
Pour un repas gastronomique à prix raisonnable sur pilotis avec une vue époustouflante sur les quais de Bordeaux (le soir, c’est magique !) Produits locaux - notamment de la Garonne et de l’Océan. Finesse et saveurs... Il vaut mieux réserver. À noter : plat végétarien Résa : 05.57.54.02.50 Accès sur la rive droite : tram A - station « Stalingrad ». (Finir à pied le long de la Garonne : environ 5 min) Depuis l’habitation : Tram A direction centre-ville : FLOIRAC Davremont ou La Gardette. (Le conseil : descendre à l’arrêt « porte de Bourgogne » et traverser le pont à pied avant de prendre les quais sur la gauche, afin de jouir de la vue panoramique sur les façades XVIII°s des quais rive-gauche et sur les eaux tumultueuses du fleuve...)
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L'Estacade
Quai des Queyries
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Pour un repas gastronomique à prix raisonnable sur pilotis avec une vue époustouflante sur les quais de Bordeaux (le soir, c’est magique !) Produits locaux - notamment de la Garonne et de l’Océan. Finesse et saveurs... Il vaut mieux réserver. À noter : plat végétarien Résa : 05.57.54.02.50 Accès sur la rive droite : tram A - station « Stalingrad ». (Finir à pied le long de la Garonne : environ 5 min) Depuis l’habitation : Tram A direction centre-ville : FLOIRAC Davremont ou La Gardette. (Le conseil : descendre à l’arrêt « porte de Bourgogne » et traverser le pont à pied avant de prendre les quais sur la gauche, afin de jouir de la vue panoramique sur les façades XVIII°s des quais rive-gauche et sur les eaux tumultueuses du fleuve...)
Pour un repas simple et en plein air, au rythme des concerts-"lives" au bord de la Garonne et dans la verdure (rive-droite). Bar à tapas. Ambiance garantie... Tél : 05.56.86.58.49 Accès sur la rive droite : tram A - station « Stalingrad ». (Finir à pied le long de la Garonne : environ 15 min) Depuis l’habitation : Tram A direction centre-ville (Floirac-Davremont ou La Gardette). (Le conseil : descendre à l’arrêt « porte de Bourgogne » et traverser le pont à pied avant de prendre les quais sur la gauche, afin de jouir de la vue panoramique sur les façades XVIII°s des quais rive-gauche et sur les eaux tumultueuses du fleuve...)
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La Guinguette Chez Alriq
Port Bastide
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Pour un repas simple et en plein air, au rythme des concerts-"lives" au bord de la Garonne et dans la verdure (rive-droite). Bar à tapas. Ambiance garantie... Tél : 05.56.86.58.49 Accès sur la rive droite : tram A - station « Stalingrad ». (Finir à pied le long de la Garonne : environ 15 min) Depuis l’habitation : Tram A direction centre-ville (Floirac-Davremont ou La Gardette). (Le conseil : descendre à l’arrêt « porte de Bourgogne » et traverser le pont à pied avant de prendre les quais sur la gauche, afin de jouir de la vue panoramique sur les façades XVIII°s des quais rive-gauche et sur les eaux tumultueuses du fleuve...)
Pour une soirée romantique rive-droite en amoureux ou une sortie en famille ou avec les amis. Cuisine inspirée par les produits régionaux et du fleuve (vous pourrez y déguster en particulier la lamproie à la bordelaise). Dans un havre de verdure, une terrasse sur pilotis qui surplombe la Garonne que vous verrez couler sous vos pieds. Une occasion de constater un phénomène typique : l’eau du fleuve « remonte » son cours à marée montante car l’influence de l’océan se fait sentir très loin sur la Garonne. (Voiture obligatoire car extérieur à Bordeaux : 28 km - 30 min depuis la maison). Résa : 05.56.20.06.40
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La Maison du Fleuve
20 Chem. de Seguin
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Pour une soirée romantique rive-droite en amoureux ou une sortie en famille ou avec les amis. Cuisine inspirée par les produits régionaux et du fleuve (vous pourrez y déguster en particulier la lamproie à la bordelaise). Dans un havre de verdure, une terrasse sur pilotis qui surplombe la Garonne que vous verrez couler sous vos pieds. Une occasion de constater un phénomène typique : l’eau du fleuve « remonte » son cours à marée montante car l’influence de l’océan se fait sentir très loin sur la Garonne. (Voiture obligatoire car extérieur à Bordeaux : 28 km - 30 min depuis la maison). Résa : 05.56.20.06.40
Il fut classé « meilleur bistrot du monde » : spécialités du Sud-Ouest, une adresse intimiste pour goûter aux saveurs de la région. Grillades au feu de bois dans la cheminée... Résa : 05.56.91.56.37 Accès : tram C - arrêt « st-Michel » Depuis l’habitation : prendre tram A direction centre-ville (Floirac - Dravemont ou La Gardette) puis correspondance tram C à « Porte de Bourgogne » [ce sera la 1° station] direction : Villenave-Pyrénées ou Gare de Bègles. Le conseil : ne manquez pas ensuite d’aller flâner sur les quais où vers la place St Michel et sa basilique du XIV°s, dont le beffroi séparé est le plus haut de tout le sud de la France et le 3° de l’hexagone (114 m).
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La Tupina
6 Rue Prte de la Monnaie
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Il fut classé « meilleur bistrot du monde » : spécialités du Sud-Ouest, une adresse intimiste pour goûter aux saveurs de la région. Grillades au feu de bois dans la cheminée... Résa : 05.56.91.56.37 Accès : tram C - arrêt « st-Michel » Depuis l’habitation : prendre tram A direction centre-ville (Floirac - Dravemont ou La Gardette) puis correspondance tram C à « Porte de Bourgogne » [ce sera la 1° station] direction : Villenave-Pyrénées ou Gare de Bègles. Le conseil : ne manquez pas ensuite d’aller flâner sur les quais où vers la place St Michel et sa basilique du XIV°s, dont le beffroi séparé est le plus haut de tout le sud de la France et le 3° de l’hexagone (114 m).
Pour moi, l’un des meilleurs restaurants italiens (sarde) de la ville. Il vaut mieux réserver à l’avance... Résa : 05.56.81.81.11 Accès : tram B station : « Grand-Théâtre » ou Tram C station « place de la Bourse ». Depuis l’habitation : tram direction centre-ville puis correspondance tram B à la station « hôtel de ville » direction : Berges de la Garonne » ou tram C à la station « porte de Bourgogne » direction : gare de Blanquefort où parc des expositions.
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Elios
22 Cr du Chapeau-Rouge
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Pour moi, l’un des meilleurs restaurants italiens (sarde) de la ville. Il vaut mieux réserver à l’avance... Résa : 05.56.81.81.11 Accès : tram B station : « Grand-Théâtre » ou Tram C station « place de la Bourse ». Depuis l’habitation : tram direction centre-ville puis correspondance tram B à la station « hôtel de ville » direction : Berges de la Garonne » ou tram C à la station « porte de Bourgogne » direction : gare de Blanquefort où parc des expositions.
Ce bar cubain (124, rue des pilliers de Tutelle à Bx - tram C arrêt : « Grand-Théâtre ») sert dans une ambiance latino des cocktails traditionnels et organise des soirées tapas & salsa. Ouvert de 17:00 à 01:45 TLJ, ambiance « sud » garantie. Ça chauffe !
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Calle Ocho
24 Rue Piliers de Tutelle
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Ce bar cubain (124, rue des pilliers de Tutelle à Bx - tram C arrêt : « Grand-Théâtre ») sert dans une ambiance latino des cocktails traditionnels et organise des soirées tapas & salsa. Ouvert de 17:00 à 01:45 TLJ, ambiance « sud » garantie. Ça chauffe !

Lieux touristiques

Un endroit magique, original et spectaculaire. Il est un point de départ idéal pour une promenade-randonnée urbaine (voir ci-dessous) sur les quais de la Garonne et ses façades du XVIII°s uniques en Europe dans cette proportion. Il présente une superficie de 3.450 m2 ainsi qu’un réservoir d’eau souterrain de 800 m3 ce qui en fait le plus grand du monde. Créé par le fontainier Jean-Matc Llorca, l’architecte Pierre Gangnot et le paysagiste Michel Corajout, le système permet de faire apparaître successivement un effet miroir avec 2 cm d’eau sur une dalle en granit - n’hésitez pas à retirer vos chaussures et à à « marcher sur l’eau » - (rafraîchissement garanti) et un effet brouillard pouvant atteindre 2 m de hauteur qui vous enveloppera d’une étonnante sensation de mystère... Pas étonnant, son concepteur explique avoir eu une inspiration vénitienne, en référence à la place St-Marc recouverte d’eau. Et en effet : installez-vous au bord du miroir (devant vous) et admirez le reflet des façades de la place de la Bourse dans l’eau...
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Víztükör
Place de la Bourse
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Un endroit magique, original et spectaculaire. Il est un point de départ idéal pour une promenade-randonnée urbaine (voir ci-dessous) sur les quais de la Garonne et ses façades du XVIII°s uniques en Europe dans cette proportion. Il présente une superficie de 3.450 m2 ainsi qu’un réservoir d’eau souterrain de 800 m3 ce qui en fait le plus grand du monde. Créé par le fontainier Jean-Matc Llorca, l’architecte Pierre Gangnot et le paysagiste Michel Corajout, le système permet de faire apparaître successivement un effet miroir avec 2 cm d’eau sur une dalle en granit - n’hésitez pas à retirer vos chaussures et à à « marcher sur l’eau » - (rafraîchissement garanti) et un effet brouillard pouvant atteindre 2 m de hauteur qui vous enveloppera d’une étonnante sensation de mystère... Pas étonnant, son concepteur explique avoir eu une inspiration vénitienne, en référence à la place St-Marc recouverte d’eau. Et en effet : installez-vous au bord du miroir (devant vous) et admirez le reflet des façades de la place de la Bourse dans l’eau...
La place de la Bourse de Bordeaux, certainement l’une des plus belles de la ville, située en face du miroir d’eau, à l'origine baptisée place Royale, a été réalisée sous les intendances de Boucher et Tourny, par les architectes du roi Jacques Gabriel[1] et son fils Ange-Jacques Gabriel, entre 1730 et 1755[2]. Première place ouverte d'Europe, elle est bordée par deux pavillons symétriques : le palais de la Bourse et l'hôtel des douanes. Ces deux édifices conservent toujours leur fonction initiale de chambre de commerce et d'administration des douanes. En 1869, elle est dotée de la « fontaine des Trois Grâces » représentant Aglaé, Euphrosyne et Thalie, filles de Zeus, dessinée par Louis Visconti, sculptée par Charles Gumery et coulée par la fonderie Thiébaut Frères. Cette fontaine a pris la place de l’ancienne statue équestre du roi Louis XV érigée en 1743 qui fut abattue en 1792 pendant la révolution. Cette place fit dire à Victor Hugo en 1843 : « cette place Royale qui est tout simplement la moitié de la place Vendôme posée au bord de l'eau ». De là vous pourrez prendre le « navi-bus pour traverser la Garonne et vous rendre sur la rive droite visiter le jardin botanique, ou embarquer pour une croisière ébouriffante sur la Garonne sur l’une des vedettes qui vous attendent à quai.
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Place de la Bourse
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La place de la Bourse de Bordeaux, certainement l’une des plus belles de la ville, située en face du miroir d’eau, à l'origine baptisée place Royale, a été réalisée sous les intendances de Boucher et Tourny, par les architectes du roi Jacques Gabriel[1] et son fils Ange-Jacques Gabriel, entre 1730 et 1755[2]. Première place ouverte d'Europe, elle est bordée par deux pavillons symétriques : le palais de la Bourse et l'hôtel des douanes. Ces deux édifices conservent toujours leur fonction initiale de chambre de commerce et d'administration des douanes. En 1869, elle est dotée de la « fontaine des Trois Grâces » représentant Aglaé, Euphrosyne et Thalie, filles de Zeus, dessinée par Louis Visconti, sculptée par Charles Gumery et coulée par la fonderie Thiébaut Frères. Cette fontaine a pris la place de l’ancienne statue équestre du roi Louis XV érigée en 1743 qui fut abattue en 1792 pendant la révolution. Cette place fit dire à Victor Hugo en 1843 : « cette place Royale qui est tout simplement la moitié de la place Vendôme posée au bord de l'eau ». De là vous pourrez prendre le « navi-bus pour traverser la Garonne et vous rendre sur la rive droite visiter le jardin botanique, ou embarquer pour une croisière ébouriffante sur la Garonne sur l’une des vedettes qui vous attendent à quai.
La porte Cailhau (porta deu Calhau en 1450) ou porte du Palais est une porte de la ville de Bordeaux donnant sur les quais. Elle faisait office à la fois de porte défensive et d'arc de triomphe (présence d'une niche à l'effigie du roi) La porte originelle était implantée dans le rempart du xive siècle. Elle a été remplacée par le monument actuel, construit plus près de la Garonne entre 1493 et 1496. Le hasard a voulu qu'en fin de construction, le roi Charles VIII remporte en 1495 la bataille de Fornoue contre les Italiens, au cours de laquelle l'archevêque de Bordeaux, André d'Espinay conduisit un contingent bordelais. Pour commémorer cette victoire, la porte formant une entrée royale face au Palais de l'Ombrière a été dédiée par les jurats à Charles VIII, et ornée de sa statue en marbre blanc, tenant globe et sceptre, entourée du cardinal d'Espinay et de saint Jean-Baptiste. La statue, brisée par les révolutionnaires en 1793 a été remplacée par une copie en pierre en 1880. L'architecte initial en fut probablement Raymond Macip. Par la suite, l'édifice a été assez remanié, notamment par l'élargissement de la baie par l'architecte Charles Dardan en 1753-1754.
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Porte Cailhau
Place du Palais
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La porte Cailhau (porta deu Calhau en 1450) ou porte du Palais est une porte de la ville de Bordeaux donnant sur les quais. Elle faisait office à la fois de porte défensive et d'arc de triomphe (présence d'une niche à l'effigie du roi) La porte originelle était implantée dans le rempart du xive siècle. Elle a été remplacée par le monument actuel, construit plus près de la Garonne entre 1493 et 1496. Le hasard a voulu qu'en fin de construction, le roi Charles VIII remporte en 1495 la bataille de Fornoue contre les Italiens, au cours de laquelle l'archevêque de Bordeaux, André d'Espinay conduisit un contingent bordelais. Pour commémorer cette victoire, la porte formant une entrée royale face au Palais de l'Ombrière a été dédiée par les jurats à Charles VIII, et ornée de sa statue en marbre blanc, tenant globe et sceptre, entourée du cardinal d'Espinay et de saint Jean-Baptiste. La statue, brisée par les révolutionnaires en 1793 a été remplacée par une copie en pierre en 1880. L'architecte initial en fut probablement Raymond Macip. Par la suite, l'édifice a été assez remanié, notamment par l'élargissement de la baie par l'architecte Charles Dardan en 1753-1754.
La porte de Bourgogne appelée aussi porte des Salinières, donnant sur les quais et le Pont de pierre. est un monument classé monument historique depuis le 2 juin 1921. Il ouvre aussi sur le Cours Victor Hugo à proximité du quartier St-Michel. En remplacement de l'ancien rempart, l'intendant Tourny avait décidé de ceinturer la ville avec des chemins de promenade plantés d'arbres et ponctués de places ornées de portes (porte Dijeaux, porte de Bourgogne, porte d'Aquitaine...). La porte de Bourgogne est située à l'extrémité des anciens fossés des Salinières actuels Cours Victor-Hugo (ancienne rue des Fossés) à l'emplacement de l'ancienne porte médiévale des Salinières. Elle marque l'entrée officielle de la ville sur l'ancienne route menant à Paris. Tourny souhaitait qu'elle constitue un accompagnement pour la Place Royale (actuelle Place de la Bourse) et la consacra au Prince Monseigneur le Duc de Bourgogne le 24 janvier 1757. Elle a été un temps la Porte Napoléon pour célébrer la venue de l'Empereur à Bordeaux en 1808. Itinéraire : tram À direct - station porte de Bourgogne
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Burgundia kapuja
Place Bir Hakeim
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La porte de Bourgogne appelée aussi porte des Salinières, donnant sur les quais et le Pont de pierre. est un monument classé monument historique depuis le 2 juin 1921. Il ouvre aussi sur le Cours Victor Hugo à proximité du quartier St-Michel. En remplacement de l'ancien rempart, l'intendant Tourny avait décidé de ceinturer la ville avec des chemins de promenade plantés d'arbres et ponctués de places ornées de portes (porte Dijeaux, porte de Bourgogne, porte d'Aquitaine...). La porte de Bourgogne est située à l'extrémité des anciens fossés des Salinières actuels Cours Victor-Hugo (ancienne rue des Fossés) à l'emplacement de l'ancienne porte médiévale des Salinières. Elle marque l'entrée officielle de la ville sur l'ancienne route menant à Paris. Tourny souhaitait qu'elle constitue un accompagnement pour la Place Royale (actuelle Place de la Bourse) et la consacra au Prince Monseigneur le Duc de Bourgogne le 24 janvier 1757. Elle a été un temps la Porte Napoléon pour célébrer la venue de l'Empereur à Bordeaux en 1808. Itinéraire : tram À direct - station porte de Bourgogne
La grosse cloche de Bordeaux est le beffroi de l'ancien hôtel de ville. La porte et les tours, dites de la Grosse Cloche, sont classées au titre des monuments historiques par arrêté du 12 juillet 1886. C'est un des rares monuments civils (avec la porte Cailhau) que la ville conserve du Moyen Âge. Elle a été restaurée du 4 au 22 juillet 2016. Elle a été édifiée au xve siècle sur les restes de l'ancienne Porte Saint-Éloy (dite aussi porte Saint James) du xiiie siècle (adossée à l’église Saint-Éloi du xiie siècle), ouverte sur le rempart du XIII° siècle et sous laquelle passaient les pèlerins de Saint-Jacques en route pour Compostelle. D'où le nom de la rue Saint-James voisine, Saint-James étant le nom gascon de Saint-Jacques. Toutes les modifications successives effectuées entre le XVe et le xviie siècle transformèrent la physionomie primitive de cette porte devenue beffroi, le clocher du ban communal lui ayant été adjoint dès le xve siècle. Les magistrats de la ville sonnaient la cloche pour donner le signal des vendanges et alerter la population en cas de débuts d'incendies. C'est la raison pour laquelle elle est depuis toujours le symbole à la ville et figure encore aujourd'hui sur les armoiries de la cité. Les Bordelais sont très attachés à cette cloche. Lorsque le roi voulait les punir pour leur insubordination, il faisait enlever la cloche : les habitants ne tardaient guère alors à rentrer dans le rang pour retrouver leur emblème... C'est ainsi qu'elle est enlevée aux Bordelais par le roi Henri II et brisée pour les punir de leur révolte de 1548 (la jacquerie des pitauds); la cloche revint en 1561 pour la plus grande joie des habitants. Caractéristiques : Elle est composée de deux tours circulaires impressionnantes de 40 mètres de haut reliées par un bâtiment central et dominée par le léopard d'or. À l'origine c'était un ensemble de quatre tours rondes et crenelées auxquelles furent adjointes, au XII°siècle, deux autres tours et ne s'élevait que d'un étage. Ces deux dernières se situaient à l'emplacement du milieu de l'actuel cours Victor Hugo qui était à l'époque un fossé longeant le rempart. Après l'incendie de 1755, crénelage et campanile viennent couronner les tours couvertes en forme de poivrière. Au centre de la grille en fer forgé (xviiie siècle) qui ferme la baie dans laquelle se trouve la cloche, un écusson représente les armes de la ville tandis que, face nord, des gargouilles grimaçantes du xve siècle subsistent avec, au-dessous, des inscriptions gravées sur marbre noir et datées de 1592. La cloche actuelle fut coulée en juin 1775 par le fondeur Turmeau (voir la plaque sous la tour) . Elle pèse 7 800 kg pour deux mètres de hauteur et de diamètre[4]. Elle est classée au titre d'objet depuis le 4 juillet 1991[5]. Elle a sonné la commémoration de la victoire du 8 mai 1945, depuis en raison de son poids et des risques de fissures que pourraient provoquer les vibrations de la cloche, elle n'a sonné qu'à quelques reprises, lors de sa remise en place dans le campanile, à la suite de sa restauration et lors de la visite du Général de Gaulle dans la ville, le 10 avril 1961. Jusqu'en juin 2016, elle sonnait tous les ans cinq fois par an. Le 1er janvier (nouvel an), le 8 mai (Victoire du 8 mai 1945), le 14 juillet (fête nationale), le 28 août (libération de Bordeaux en 1944) et le 11 novembre (Armistice de 1918) en présence de nombreux spectateurs à 11 heures. Depuis, elle sonne aussi tous les premiers dimanches du mois. Représenté sur la girouette, le léopard anglais rappelle les armes de la province de la Guyenne anglaise dont Bordeaux était la capitale. L'horloge construite en 1759 d'après les plans du mathématicien et astronome Paul Larroque a remplacé celle de 1567 exécutée par Raymond Sudre. Au-dessus d'elle se trouve un cadran à équation solaire. Voici le texte gravé sur la cloche : « J'appelle aux armes J'annonce les jours Je donne les heures Je chasse l'orage Je sonne les fêtes Je crie à l'incendie. » À noter : 1°) De quelle époque date l’horloge qui orne les deux façades de la tour ? Le roi Henri II donne son autorisation en 1556 de remettre « ung oreloge… pour la commodité des manans et habitans ». Mais elle sera à nouveau remplacée, et celle que les Bordelais peuvent admirer aujourd’hui, date de 1756. Le mathématicien et astronome Paul Larroque imagine alors une horloge astronomique, et Bertrand Bertus maître serrurier bordelais en élabore les rouages complexes. « Elle intégrait aussi les équations lunaires, précise Patrick Della-Libera : au-dessus du cadran du côté de la rue Saint-James, on voit une boule noire. Celle-ci tournait et faisait apparaître les cycles lunaires. » 2°) Combien Bordeaux compte-t-elle d’horloges ? Il y a une trentaine d’horloges dans la ville, notamment une quinzaine dans la vingtaine d’églises de Bordeaux. Les deux horloges de la place de la Comédie sont particulières. « Elles sont reliées par une alimentation qui passe sous la plateforme du tram, et leur commande se situe dans les caves du Grand-Théâtre. Avec le passage du tram elles se sont déréglées, et il a fallu les équiper d’un système de synchronisation pour qu’elles continuent de fonctionner. Itinéraire : tram B - station Grand Théâtre
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Nagy Harang
45 Rue Saint-James
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La grosse cloche de Bordeaux est le beffroi de l'ancien hôtel de ville. La porte et les tours, dites de la Grosse Cloche, sont classées au titre des monuments historiques par arrêté du 12 juillet 1886. C'est un des rares monuments civils (avec la porte Cailhau) que la ville conserve du Moyen Âge. Elle a été restaurée du 4 au 22 juillet 2016. Elle a été édifiée au xve siècle sur les restes de l'ancienne Porte Saint-Éloy (dite aussi porte Saint James) du xiiie siècle (adossée à l’église Saint-Éloi du xiie siècle), ouverte sur le rempart du XIII° siècle et sous laquelle passaient les pèlerins de Saint-Jacques en route pour Compostelle. D'où le nom de la rue Saint-James voisine, Saint-James étant le nom gascon de Saint-Jacques. Toutes les modifications successives effectuées entre le XVe et le xviie siècle transformèrent la physionomie primitive de cette porte devenue beffroi, le clocher du ban communal lui ayant été adjoint dès le xve siècle. Les magistrats de la ville sonnaient la cloche pour donner le signal des vendanges et alerter la population en cas de débuts d'incendies. C'est la raison pour laquelle elle est depuis toujours le symbole à la ville et figure encore aujourd'hui sur les armoiries de la cité. Les Bordelais sont très attachés à cette cloche. Lorsque le roi voulait les punir pour leur insubordination, il faisait enlever la cloche : les habitants ne tardaient guère alors à rentrer dans le rang pour retrouver leur emblème... C'est ainsi qu'elle est enlevée aux Bordelais par le roi Henri II et brisée pour les punir de leur révolte de 1548 (la jacquerie des pitauds); la cloche revint en 1561 pour la plus grande joie des habitants. Caractéristiques : Elle est composée de deux tours circulaires impressionnantes de 40 mètres de haut reliées par un bâtiment central et dominée par le léopard d'or. À l'origine c'était un ensemble de quatre tours rondes et crenelées auxquelles furent adjointes, au XII°siècle, deux autres tours et ne s'élevait que d'un étage. Ces deux dernières se situaient à l'emplacement du milieu de l'actuel cours Victor Hugo qui était à l'époque un fossé longeant le rempart. Après l'incendie de 1755, crénelage et campanile viennent couronner les tours couvertes en forme de poivrière. Au centre de la grille en fer forgé (xviiie siècle) qui ferme la baie dans laquelle se trouve la cloche, un écusson représente les armes de la ville tandis que, face nord, des gargouilles grimaçantes du xve siècle subsistent avec, au-dessous, des inscriptions gravées sur marbre noir et datées de 1592. La cloche actuelle fut coulée en juin 1775 par le fondeur Turmeau (voir la plaque sous la tour) . Elle pèse 7 800 kg pour deux mètres de hauteur et de diamètre[4]. Elle est classée au titre d'objet depuis le 4 juillet 1991[5]. Elle a sonné la commémoration de la victoire du 8 mai 1945, depuis en raison de son poids et des risques de fissures que pourraient provoquer les vibrations de la cloche, elle n'a sonné qu'à quelques reprises, lors de sa remise en place dans le campanile, à la suite de sa restauration et lors de la visite du Général de Gaulle dans la ville, le 10 avril 1961. Jusqu'en juin 2016, elle sonnait tous les ans cinq fois par an. Le 1er janvier (nouvel an), le 8 mai (Victoire du 8 mai 1945), le 14 juillet (fête nationale), le 28 août (libération de Bordeaux en 1944) et le 11 novembre (Armistice de 1918) en présence de nombreux spectateurs à 11 heures. Depuis, elle sonne aussi tous les premiers dimanches du mois. Représenté sur la girouette, le léopard anglais rappelle les armes de la province de la Guyenne anglaise dont Bordeaux était la capitale. L'horloge construite en 1759 d'après les plans du mathématicien et astronome Paul Larroque a remplacé celle de 1567 exécutée par Raymond Sudre. Au-dessus d'elle se trouve un cadran à équation solaire. Voici le texte gravé sur la cloche : « J'appelle aux armes J'annonce les jours Je donne les heures Je chasse l'orage Je sonne les fêtes Je crie à l'incendie. » À noter : 1°) De quelle époque date l’horloge qui orne les deux façades de la tour ? Le roi Henri II donne son autorisation en 1556 de remettre « ung oreloge… pour la commodité des manans et habitans ». Mais elle sera à nouveau remplacée, et celle que les Bordelais peuvent admirer aujourd’hui, date de 1756. Le mathématicien et astronome Paul Larroque imagine alors une horloge astronomique, et Bertrand Bertus maître serrurier bordelais en élabore les rouages complexes. « Elle intégrait aussi les équations lunaires, précise Patrick Della-Libera : au-dessus du cadran du côté de la rue Saint-James, on voit une boule noire. Celle-ci tournait et faisait apparaître les cycles lunaires. » 2°) Combien Bordeaux compte-t-elle d’horloges ? Il y a une trentaine d’horloges dans la ville, notamment une quinzaine dans la vingtaine d’églises de Bordeaux. Les deux horloges de la place de la Comédie sont particulières. « Elles sont reliées par une alimentation qui passe sous la plateforme du tram, et leur commande se situe dans les caves du Grand-Théâtre. Avec le passage du tram elles se sont déréglées, et il a fallu les équiper d’un système de synchronisation pour qu’elles continuent de fonctionner. Itinéraire : tram B - station Grand Théâtre
La place tient son nom de Pey Berland (forme gasconne de Pierre Berland) qui fut élu archevêque de Bordeaux en 1430. Elle abrite la Cathédrale Saint-André et son beffroi séparé, du sommet duquel vous bénéficierez d’une des plus spectaculaires vues sur Bordeaux. Elle est bordée de restaurants-terrasses et du Palais Rohan, le magnifique Hôtel de Ville de Bordeaux. Une statue représentant Jacques Chaban-Delmas, ancien maire de Bordeaux pendant 47 ans entre 1947 et 1995, et ancien premier ministre (1969-1972) est érigée sur la place. À noter : un marché de producteurs de produits frais en circuit court se tient tous les mercredis matin sur la place (voir la rubrique : « marchés ») À noter à proximité : -l’emblématique et futuriste (voir dans le guide) Palais de justice construit par l’architecte britannique sir Richard Rogers (Beaubourg à Paris), -l’Ecole Nationale de la Magistrature et ses vielles tours des sorcières et de l’ancien Fort du Hâ qui gardait l’entrée de la ville. Pour s’y rendre : Itinéraire : tram A direct - station "Hôtel de Ville" ou "Palais de justice »
Sejourneur- Place Pey-Berland
22 Pl. Pey Berland
La place tient son nom de Pey Berland (forme gasconne de Pierre Berland) qui fut élu archevêque de Bordeaux en 1430. Elle abrite la Cathédrale Saint-André et son beffroi séparé, du sommet duquel vous bénéficierez d’une des plus spectaculaires vues sur Bordeaux. Elle est bordée de restaurants-terrasses et du Palais Rohan, le magnifique Hôtel de Ville de Bordeaux. Une statue représentant Jacques Chaban-Delmas, ancien maire de Bordeaux pendant 47 ans entre 1947 et 1995, et ancien premier ministre (1969-1972) est érigée sur la place. À noter : un marché de producteurs de produits frais en circuit court se tient tous les mercredis matin sur la place (voir la rubrique : « marchés ») À noter à proximité : -l’emblématique et futuriste (voir dans le guide) Palais de justice construit par l’architecte britannique sir Richard Rogers (Beaubourg à Paris), -l’Ecole Nationale de la Magistrature et ses vielles tours des sorcières et de l’ancien Fort du Hâ qui gardait l’entrée de la ville. Pour s’y rendre : Itinéraire : tram A direct - station "Hôtel de Ville" ou "Palais de justice »
Le palais Rohan est un palais bordelais construit pour l'archevêque Ferdinand-Maximilien-Mériadec, prince de Rohan, entre 1771 et 1784. Il abrite la mairie de Bordeaux sur la place Pey-Berland. Hôtel de l’Archevêché jusqu’à la Révolution, hôtel du département puis siège du tribunal révolutionnaire en 1791, hôtel de la préfecture en 1800, palais impérial de Napoléon Ier en 1808 et palais royal en 1815 sous Louis XVIII, le palais Rohan devient hôtel de ville en 1835. Itinéraire :tram À direct - station Hôtel de Ville
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Hôtel de Ville
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Le palais Rohan est un palais bordelais construit pour l'archevêque Ferdinand-Maximilien-Mériadec, prince de Rohan, entre 1771 et 1784. Il abrite la mairie de Bordeaux sur la place Pey-Berland. Hôtel de l’Archevêché jusqu’à la Révolution, hôtel du département puis siège du tribunal révolutionnaire en 1791, hôtel de la préfecture en 1800, palais impérial de Napoléon Ier en 1808 et palais royal en 1815 sous Louis XVIII, le palais Rohan devient hôtel de ville en 1835. Itinéraire :tram À direct - station Hôtel de Ville
Avec son architecture futuriste, le palais de Justice de Bordeaux est devenu un des bâtiments incontournables de la capitale de la région Nouvelle-Aquitaine. Adossé aux bâtiments historiques de l’ancien tribunal désormais dédiés à la seule cour d’appel, le nouveau palais de justice, abritant le tribunal de grande instance - que l’on doit désormais appeler « le tribunal judiciaire » - a été réalisé en 1998 par le cabinet d'architectes du britannique sir Richard Rogers (auteur du Centre Beaubourg à Paris). Le bâtiment présente une architecture audacieuse symbolisant la transparence de la justice. Les salles d'audience sont des coques de bois, en lévitation sur des coupelles de béton et protégées par une immense cage de verre à contreventement par raidisseurs en acier. La forme de ces coques de bois est sujette à interprétation. Elles peuvent évoquer des ruches, des graines, des cuves vinicoles. Le bâtiment est intégré dans un îlot judiciaire comprenant également la cour d’appel et l’Ecole Nationale de la Magistrature (ENM) sur l’emplacement de l'ancien fort du Hâ dont deux tours subsistent, augmentée d'une troisième, nouvelle et carrée intégrée à l’ENM, disposée à l'angle de la place Pey-Berland et à proximité de la cathédrale Saint-André. Construit autour des idées de transparence[4], d'ouverture et d'accessibilité, le bâtiment affiche clairement sa fonction et son organisation.
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Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
30 Rue des Frères Bonie
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Avec son architecture futuriste, le palais de Justice de Bordeaux est devenu un des bâtiments incontournables de la capitale de la région Nouvelle-Aquitaine. Adossé aux bâtiments historiques de l’ancien tribunal désormais dédiés à la seule cour d’appel, le nouveau palais de justice, abritant le tribunal de grande instance - que l’on doit désormais appeler « le tribunal judiciaire » - a été réalisé en 1998 par le cabinet d'architectes du britannique sir Richard Rogers (auteur du Centre Beaubourg à Paris). Le bâtiment présente une architecture audacieuse symbolisant la transparence de la justice. Les salles d'audience sont des coques de bois, en lévitation sur des coupelles de béton et protégées par une immense cage de verre à contreventement par raidisseurs en acier. La forme de ces coques de bois est sujette à interprétation. Elles peuvent évoquer des ruches, des graines, des cuves vinicoles. Le bâtiment est intégré dans un îlot judiciaire comprenant également la cour d’appel et l’Ecole Nationale de la Magistrature (ENM) sur l’emplacement de l'ancien fort du Hâ dont deux tours subsistent, augmentée d'une troisième, nouvelle et carrée intégrée à l’ENM, disposée à l'angle de la place Pey-Berland et à proximité de la cathédrale Saint-André. Construit autour des idées de transparence[4], d'ouverture et d'accessibilité, le bâtiment affiche clairement sa fonction et son organisation.
Située place Gambetta à l’issue de la rue du même nom, à proximité de laquelle vous trouverez la célèbre librairie MOLLAT, l’une des librairies indépendantes les plus vastes de France - une institution locale - la porte Dijeaux est également connue sous le nom de porte Dauphine (sous Louis XIV). Son nom est historiquement attesté sous les formes instables : de Giu, Dijeu, Dijeus, Digaus[2], etc. D'après Camille Jullian, l'origine du nom serait en rapport avec le temple de Jupiter qui se dressait à cet emplacement à l'époque gallo-romaine. La porte se serait appelée Porta Jovis en latin et son nom actuel viendrait de la déformation de l'expression de Jòu signifiant "de Jupiter" en gascon, la langue traditionnelle de Bordeaux. Le préfixe di- vient de l'attraction paronymique du mot gascon dijàus signifiant jeudi (le jour de Jupiter). La porte Dijeaux était une entrée à l'ouest de la ville de Bordeaux dès l'époque romaine (elle mène vers l’ancien forum romain du Grand-Théâtre) et la première ligne de fortification. Elle permit notamment de repousser les troupes du cardinal Mazarin en 1650.
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Porte Dijeaux
90 Rue de la Prte Dijeaux
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Située place Gambetta à l’issue de la rue du même nom, à proximité de laquelle vous trouverez la célèbre librairie MOLLAT, l’une des librairies indépendantes les plus vastes de France - une institution locale - la porte Dijeaux est également connue sous le nom de porte Dauphine (sous Louis XIV). Son nom est historiquement attesté sous les formes instables : de Giu, Dijeu, Dijeus, Digaus[2], etc. D'après Camille Jullian, l'origine du nom serait en rapport avec le temple de Jupiter qui se dressait à cet emplacement à l'époque gallo-romaine. La porte se serait appelée Porta Jovis en latin et son nom actuel viendrait de la déformation de l'expression de Jòu signifiant "de Jupiter" en gascon, la langue traditionnelle de Bordeaux. Le préfixe di- vient de l'attraction paronymique du mot gascon dijàus signifiant jeudi (le jour de Jupiter). La porte Dijeaux était une entrée à l'ouest de la ville de Bordeaux dès l'époque romaine (elle mène vers l’ancien forum romain du Grand-Théâtre) et la première ligne de fortification. Elle permit notamment de repousser les troupes du cardinal Mazarin en 1650.
C’est l’une des plus prestigieuses places de Bordeaux. A l'endroit de l'actuelle place de la Comédie se trouvait à l'origine un ancien forum Gallo-Romain qui a laissé son nom à la toute proche rue des "Piliers de Tutelle" (du nom de la Déesse Tutela). Au débouché des allées de Tourny et du cours de l’Intendance (piétonnier), devant le Grand-Théâtre et ses 12 colonnes doriques et statues de déesses et de muses qui surplombent son fronton - lequel abrite le restaurant « le quatrième mur » du célèbre et médiatique chef étoilé Philippe Etchebest ("Top chef" et "cauchemar en cuisine") - la place de la Comédie ferme un périmètre appelé « le triangle d’or » tant en raison de la beauté des immeubles qui le composent que du prix du m2 ! Véritable centre névralgique de la ville, elle donnait accès vers l’Espagne au sud par l’actuelle rue Ste-Catherine (ancien chemin de St-Jacques de Composrelle) et vers l’ouest et l’Océan (par l’actuel cours de l’Intendance et la rue Judaïque). Outre l’Opéra, elle abrite un très bon chocolatier, un hôtel prestigieux avec terrasse, des brasseries et vous trouverez à proximité immédiate, outre « La Vinothèque » et « l’Intendant » pour vos achats de vin, trois institutions bordelaises : le restaurant l’Entrecôte et les brasseries Le Noailles (allées de Tourny) et l’Orléans (sur la place des Quinconces). Besoin d’une info ou d’une idée : poussez la porte de l’office du tourisme, ou du CIVB (Centre Interprofessionnel des Vins de Bordeaux) : 5800 viticulteurs, 300 maisons de négoce, 72 courtiers. Avec 55000 emplois directs et indirects, et 4 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Vous êtes aussi à côté de la rue Ste Catherine et ses centaines de commerce, la place des quinconces et les quais ainsi que la place Gambetta. Accès : tram B station « Grand-Théâtre » où « Quinconces »
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Place de la Comedie
Place de la Comédie
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C’est l’une des plus prestigieuses places de Bordeaux. A l'endroit de l'actuelle place de la Comédie se trouvait à l'origine un ancien forum Gallo-Romain qui a laissé son nom à la toute proche rue des "Piliers de Tutelle" (du nom de la Déesse Tutela). Au débouché des allées de Tourny et du cours de l’Intendance (piétonnier), devant le Grand-Théâtre et ses 12 colonnes doriques et statues de déesses et de muses qui surplombent son fronton - lequel abrite le restaurant « le quatrième mur » du célèbre et médiatique chef étoilé Philippe Etchebest ("Top chef" et "cauchemar en cuisine") - la place de la Comédie ferme un périmètre appelé « le triangle d’or » tant en raison de la beauté des immeubles qui le composent que du prix du m2 ! Véritable centre névralgique de la ville, elle donnait accès vers l’Espagne au sud par l’actuelle rue Ste-Catherine (ancien chemin de St-Jacques de Composrelle) et vers l’ouest et l’Océan (par l’actuel cours de l’Intendance et la rue Judaïque). Outre l’Opéra, elle abrite un très bon chocolatier, un hôtel prestigieux avec terrasse, des brasseries et vous trouverez à proximité immédiate, outre « La Vinothèque » et « l’Intendant » pour vos achats de vin, trois institutions bordelaises : le restaurant l’Entrecôte et les brasseries Le Noailles (allées de Tourny) et l’Orléans (sur la place des Quinconces). Besoin d’une info ou d’une idée : poussez la porte de l’office du tourisme, ou du CIVB (Centre Interprofessionnel des Vins de Bordeaux) : 5800 viticulteurs, 300 maisons de négoce, 72 courtiers. Avec 55000 emplois directs et indirects, et 4 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Vous êtes aussi à côté de la rue Ste Catherine et ses centaines de commerce, la place des quinconces et les quais ainsi que la place Gambetta. Accès : tram B station « Grand-Théâtre » où « Quinconces »
1) - La place la plus vaste d’Europe. La place des Quinconces a été créée en dix ans, de 1818 à 1828, sur l'aire anciennement occupée par le Château Trompette qui gardait à cette époque l'une des entrées de la ville. En 1816 par ordonnance royale, Louis XVIII avait remis à la municipalité la propriété du château Trompette, une vaste forteresse construite au 15e siècle par l'un de ses prédécesseurs, pour asseoir l'autorité des Rois de France sur Bordeaux reprise aux Anglais à l’issue de la guerre de cent ans. L'ensemble, qui a été comparé à l'esplanade des Invalides à Paris, forme un territoire public de plus de douze hectares (soit : 120.000 m2), ce qui en fait la plus vaste place d'Europe. L'esplanade des Quinconces est située en plein centre de Bordeaux, près du Grand-Théâtre et des allées de Tourny, elle est Bordée par des arbres qui lui ont valu son nom car à l'origine ils étaient plantés "en quinconces" (disposition par 5 : quatre en carré et un au centre). Des allées, promenades plantées d'arbres, s'étendent de chaque côté en léger contrebas. La place abrite aussi les statues colossales en marbre blanc de Montaigne et de Montesquieu sculptées par Dominique Fortuné Maggesi. 2) - Le monument aux Girondins Ce n’est qu’en 1883, après bien d’autres projets, que fut prise la décision d’élever sur la place des Quinconces un monument aux Girondins et à la République. Il fallut quinze ans pour le réaliser. La célèbre colonne des Girondins, haute de 43 mètres, élevée en 1895 par Dumilâtre et Rich, est surmontée d’une statue de la Liberté. Au pied de la colonne ont été édifiées les statues de la ville de Bordeaux, de la Garonne et de la Dordogne mais les députés girondins font défaut. Les chevaux marins et les groupes de bronze placés au niveau des bassins latéraux, enlevés sous l’occupation allemande, pendant la seconde guerre mondiale, ont été solennellement remis en place en 1985. Protégée depuis 2002 au titre des monuments historiques, la colonne donne un relief certain à cet édifice. 3) - Les colonnes rostrales De style Néo-classique, elles ont été édifiées par Pierre-Alexandre Poitevin en 1828, à l’extrémité orientale de la place des Quinconces, côté fleuve. Haute de vingt-et-un mètres, chaque colonne a été ornée au tiers inférieur, par l’ornemaniste d’origine italienne N. Bonino, de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage (actuellement en Tunisie) et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers.
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Quinconces Square Bordeaux
Place des Quinconces
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1) - La place la plus vaste d’Europe. La place des Quinconces a été créée en dix ans, de 1818 à 1828, sur l'aire anciennement occupée par le Château Trompette qui gardait à cette époque l'une des entrées de la ville. En 1816 par ordonnance royale, Louis XVIII avait remis à la municipalité la propriété du château Trompette, une vaste forteresse construite au 15e siècle par l'un de ses prédécesseurs, pour asseoir l'autorité des Rois de France sur Bordeaux reprise aux Anglais à l’issue de la guerre de cent ans. L'ensemble, qui a été comparé à l'esplanade des Invalides à Paris, forme un territoire public de plus de douze hectares (soit : 120.000 m2), ce qui en fait la plus vaste place d'Europe. L'esplanade des Quinconces est située en plein centre de Bordeaux, près du Grand-Théâtre et des allées de Tourny, elle est Bordée par des arbres qui lui ont valu son nom car à l'origine ils étaient plantés "en quinconces" (disposition par 5 : quatre en carré et un au centre). Des allées, promenades plantées d'arbres, s'étendent de chaque côté en léger contrebas. La place abrite aussi les statues colossales en marbre blanc de Montaigne et de Montesquieu sculptées par Dominique Fortuné Maggesi. 2) - Le monument aux Girondins Ce n’est qu’en 1883, après bien d’autres projets, que fut prise la décision d’élever sur la place des Quinconces un monument aux Girondins et à la République. Il fallut quinze ans pour le réaliser. La célèbre colonne des Girondins, haute de 43 mètres, élevée en 1895 par Dumilâtre et Rich, est surmontée d’une statue de la Liberté. Au pied de la colonne ont été édifiées les statues de la ville de Bordeaux, de la Garonne et de la Dordogne mais les députés girondins font défaut. Les chevaux marins et les groupes de bronze placés au niveau des bassins latéraux, enlevés sous l’occupation allemande, pendant la seconde guerre mondiale, ont été solennellement remis en place en 1985. Protégée depuis 2002 au titre des monuments historiques, la colonne donne un relief certain à cet édifice. 3) - Les colonnes rostrales De style Néo-classique, elles ont été édifiées par Pierre-Alexandre Poitevin en 1828, à l’extrémité orientale de la place des Quinconces, côté fleuve. Haute de vingt-et-un mètres, chaque colonne a été ornée au tiers inférieur, par l’ornemaniste d’origine italienne N. Bonino, de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage (actuellement en Tunisie) et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers.
L’exceptionnelle façade des quais de Bordeaux avec ses immeubles XVIIIè constitue l’un des plus magnifiques ensemble patrimonial urbain au monde, qui est au cœur du projet ayant abouti au classement de la métropole bordelaise l’agglomération, sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO en 2007. Cela mérite bien une balade-randonnée - que vous pourrez faire en jogging comme beaucoup de bordelais - sur un parcours d’environ 7km qui vous permettra d’en découvrir les joyaux en longeant le fleuve (accessible aux poussettes tout le long du parcours) sur ses deux rives « entre les deux ponts ». Vous pourrez vous renseigner sur les croisières fluviales auprès des. vedettes accostées aux pontons le long des quais. Je vous invite à débuter votre promenade Porte de Bourgogne au pied du Pont de Pierre [description ci-dessous - rubrique « ponts »]. Longez les quais avec la Garonne sur votre droite. Vous découvrirez d’abord la porte Cailhau [voir ci-dessus dans mon guide], puis le miroir-d’eau et la place de la Bourse [idem] avec sa fontaine, le musée des Douanes [id.] et le restaurant gastronomique. Notez qu’à l’époque des grands voiliers, les échauguettes du bâtiment des Douane et de la chambre de commerce qui lu font face permettaient d’apercevoir au loin les navires qui remontaient l’estuaire et d’estimer ainsi leur heure d’arrivée sur les quais. Une girouette reliée à une immense aiguille fixée sur un cadran à l’intérieur du bâtiment permettait d’affiner cette estimation en fonction des vents dominants qui soufflaient dans les voiles des embarcations. En été vous pourrez tomber sur un groupe de danseurs de salsa ou de tango...et vous joindre à eux. Un peu plus loin s’ouvre la perspective de la place des Quinconces [id.]. Profitez-en pour admirer la courbure caractéristique du fleuve en forme de croissant de lune qui a donné à Bordeaux son surnom de « port de la lune ». Encore quelques pas et vous passerez devant le Musée d’art contemporain (CAPC) [id.]. Encore quelques foulées et après l’Ibaia café, cherchez « les maisons jumelles flamandes ». Elles ont été construites vers 1680 par le marchand bordelais d’origine hollandaise Hilaire Renu. Classées au titre des monuments historiques en 1990, elles rappellent la prépondérance des hollandais dans le commerce bordelais au XVIIè s. Puis vous pourrez admirer les pirouettes des champions de la glisse du Roller-park avec lesquels vos enfants pourront rivaliser. Juste après dans la rue Borie, se trouve le passionnant musée de l’histoire maritime de Bordeaux [id.] niché dans le quartier historique des Chartrons, ancien - et encore un peu - fief des négociants en vin qui y avaient installés leurs chais d’entreposage des barriques. Ces négociants sont à l'origine de la fortune contemporaines de la ville. Beaucoup de ces chais ont été transformés en confortables lofts très prisés des bordelais. L’orientation des rues suit encore la longueur de ces chais en pierres. Plus loin vous pourrez vous laisser tenter par les terrasses et les prix cassés des nombreuses boutiques du « Quai des Marques » et commencer à apprécier la somptueuse perspective du Pont Chaban-Delmas [ID;] et de la finesse de son tablier. Avec un peu de chance, vous verrez se lever celui-ci à 55m en 12 min pour laisser entrer un bateau dans le port. Juste après et derrière le bâtiment, dans la perspective du cours Edouard-Vaillant, vous apercevrez la silhouette blanche et futuriste de l’hôtel Seeko’o. Vous serez alors passés sur le quai de « Bacalan », toponyme qui provient du nom du jurât qui construisit au bord du fleuve une maison d’agrément après l’asséchage de ce quartier marécageux et insalubre en 1559. Il s’agit désormais d’un quartier entièrement rénové et très prisé comprenant d’importants programmes immobiliers autour des bassins à flot (à visiter aussi), des bars branchés, des discothèques, des restaurants, des salles de concerts et de jazz, une halle où vous pourrez déjeuner (juste un peu plus loin après le pont), y compris nichés sur des bateaux. Un peu plus loin, poussez la porte de « Cap-Sciences » où les enfants seront à la fête (et vous aussi !) [id.]. C’est un centre culturel, scientifique et ludique, lieu d’expositions interactive dédié aux sciences et à l’innovation. Jolie perspective depuis sa terrasse. Empruntez alors le pont [id.] d’où vous admirerez le sémaphore futuriste de la cité du vin qui culmine à 35 m de hauteur ainsi que les remous du fleuve et la perspective sur les deux rives. Vous reviendrez par la rive droite (en prenant à droite au bout du pont) en direction du pont de pierre et votre point de départ dans un parcours plus sylvestre. Sur le quai de Queyries, vous passerez par « le jardin des Angéliques » et pourrez déjeuner ou diner dans plusieurs restaurants en bordure champêtre de la Garonne dont la fameuse guinguette « Chez Alricq » [id.] et plus loin loin près du pont de pierre, après avoir passé des terrains de sport et admiré quelques beaux arbres, le restaurant « L’Estacade ». Peu avant, la curiosité vous aura peut-être poussé à franchir le portail de « Darwin », écosystème et lieu alternatif e détonnant de la rive droite [id.]. Profitez-en pour aller apprécier le calme du jardin des plantes [id.]. Vous terminerez votre périple en repassant le pont de pierre [id.]. Vous aurez sans doute remarqué le siège moderne du journal Sud-Ouest et pris l’idée de vous faire une petite toile au cinéma, installé dans l’ancienne gare d’Orléans - inaugurée en 1852 où la ligne de chemin de fer en provenance de Paris achevait sa course avant le franchissement de la Garonne qui s’effectuait à pied par le pont de pierre. Un coup d'oeil en passant aussi sur la place de Stalingrad et son lion bleu gigantesque [id.]. Il vous restera peut-être un peu de temps pour monter sur le "navi-bat" sur le quai avant le pont qui pourra vous emmener jusqu'au pied du pont d'Aquitaine le long de la façade des quais vue du fleuve [id.]
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Les Quais De Bordeaux
40-41 Quai des Chartrons
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L’exceptionnelle façade des quais de Bordeaux avec ses immeubles XVIIIè constitue l’un des plus magnifiques ensemble patrimonial urbain au monde, qui est au cœur du projet ayant abouti au classement de la métropole bordelaise l’agglomération, sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO en 2007. Cela mérite bien une balade-randonnée - que vous pourrez faire en jogging comme beaucoup de bordelais - sur un parcours d’environ 7km qui vous permettra d’en découvrir les joyaux en longeant le fleuve (accessible aux poussettes tout le long du parcours) sur ses deux rives « entre les deux ponts ». Vous pourrez vous renseigner sur les croisières fluviales auprès des. vedettes accostées aux pontons le long des quais. Je vous invite à débuter votre promenade Porte de Bourgogne au pied du Pont de Pierre [description ci-dessous - rubrique « ponts »]. Longez les quais avec la Garonne sur votre droite. Vous découvrirez d’abord la porte Cailhau [voir ci-dessus dans mon guide], puis le miroir-d’eau et la place de la Bourse [idem] avec sa fontaine, le musée des Douanes [id.] et le restaurant gastronomique. Notez qu’à l’époque des grands voiliers, les échauguettes du bâtiment des Douane et de la chambre de commerce qui lu font face permettaient d’apercevoir au loin les navires qui remontaient l’estuaire et d’estimer ainsi leur heure d’arrivée sur les quais. Une girouette reliée à une immense aiguille fixée sur un cadran à l’intérieur du bâtiment permettait d’affiner cette estimation en fonction des vents dominants qui soufflaient dans les voiles des embarcations. En été vous pourrez tomber sur un groupe de danseurs de salsa ou de tango...et vous joindre à eux. Un peu plus loin s’ouvre la perspective de la place des Quinconces [id.]. Profitez-en pour admirer la courbure caractéristique du fleuve en forme de croissant de lune qui a donné à Bordeaux son surnom de « port de la lune ». Encore quelques pas et vous passerez devant le Musée d’art contemporain (CAPC) [id.]. Encore quelques foulées et après l’Ibaia café, cherchez « les maisons jumelles flamandes ». Elles ont été construites vers 1680 par le marchand bordelais d’origine hollandaise Hilaire Renu. Classées au titre des monuments historiques en 1990, elles rappellent la prépondérance des hollandais dans le commerce bordelais au XVIIè s. Puis vous pourrez admirer les pirouettes des champions de la glisse du Roller-park avec lesquels vos enfants pourront rivaliser. Juste après dans la rue Borie, se trouve le passionnant musée de l’histoire maritime de Bordeaux [id.] niché dans le quartier historique des Chartrons, ancien - et encore un peu - fief des négociants en vin qui y avaient installés leurs chais d’entreposage des barriques. Ces négociants sont à l'origine de la fortune contemporaines de la ville. Beaucoup de ces chais ont été transformés en confortables lofts très prisés des bordelais. L’orientation des rues suit encore la longueur de ces chais en pierres. Plus loin vous pourrez vous laisser tenter par les terrasses et les prix cassés des nombreuses boutiques du « Quai des Marques » et commencer à apprécier la somptueuse perspective du Pont Chaban-Delmas [ID;] et de la finesse de son tablier. Avec un peu de chance, vous verrez se lever celui-ci à 55m en 12 min pour laisser entrer un bateau dans le port. Juste après et derrière le bâtiment, dans la perspective du cours Edouard-Vaillant, vous apercevrez la silhouette blanche et futuriste de l’hôtel Seeko’o. Vous serez alors passés sur le quai de « Bacalan », toponyme qui provient du nom du jurât qui construisit au bord du fleuve une maison d’agrément après l’asséchage de ce quartier marécageux et insalubre en 1559. Il s’agit désormais d’un quartier entièrement rénové et très prisé comprenant d’importants programmes immobiliers autour des bassins à flot (à visiter aussi), des bars branchés, des discothèques, des restaurants, des salles de concerts et de jazz, une halle où vous pourrez déjeuner (juste un peu plus loin après le pont), y compris nichés sur des bateaux. Un peu plus loin, poussez la porte de « Cap-Sciences » où les enfants seront à la fête (et vous aussi !) [id.]. C’est un centre culturel, scientifique et ludique, lieu d’expositions interactive dédié aux sciences et à l’innovation. Jolie perspective depuis sa terrasse. Empruntez alors le pont [id.] d’où vous admirerez le sémaphore futuriste de la cité du vin qui culmine à 35 m de hauteur ainsi que les remous du fleuve et la perspective sur les deux rives. Vous reviendrez par la rive droite (en prenant à droite au bout du pont) en direction du pont de pierre et votre point de départ dans un parcours plus sylvestre. Sur le quai de Queyries, vous passerez par « le jardin des Angéliques » et pourrez déjeuner ou diner dans plusieurs restaurants en bordure champêtre de la Garonne dont la fameuse guinguette « Chez Alricq » [id.] et plus loin loin près du pont de pierre, après avoir passé des terrains de sport et admiré quelques beaux arbres, le restaurant « L’Estacade ». Peu avant, la curiosité vous aura peut-être poussé à franchir le portail de « Darwin », écosystème et lieu alternatif e détonnant de la rive droite [id.]. Profitez-en pour aller apprécier le calme du jardin des plantes [id.]. Vous terminerez votre périple en repassant le pont de pierre [id.]. Vous aurez sans doute remarqué le siège moderne du journal Sud-Ouest et pris l’idée de vous faire une petite toile au cinéma, installé dans l’ancienne gare d’Orléans - inaugurée en 1852 où la ligne de chemin de fer en provenance de Paris achevait sa course avant le franchissement de la Garonne qui s’effectuait à pied par le pont de pierre. Un coup d'oeil en passant aussi sur la place de Stalingrad et son lion bleu gigantesque [id.]. Il vous restera peut-être un peu de temps pour monter sur le "navi-bat" sur le quai avant le pont qui pourra vous emmener jusqu'au pied du pont d'Aquitaine le long de la façade des quais vue du fleuve [id.]
Darwin : rien que le nom, tout un programme ! À deux pas du pont de pierre et du jardin botanique, sur le trajet de la randonnée « des deux ponts », DARWIN ECOSYSYÈME, le lieu alternatif de la rive droite est implanté au 87 quai de Queyries dans le quartier de la Bastide, sur le sited’uneancienne caserne désaffectée aujourd’hui éco-réhabilitée. Il est un des lieux les plus visités de la ville. Expérience sociologique inédite difficile à résumer tellement elle est multiforme, Darwin attire autant de profils différents que de projets novateurs. Entre les skateurs et passionnés de street-art, les entrepreneurs de la green économie, les fans de musique électro, les défenseurs de la biodiversité ou encore les « brunchers » du dimanche, chacun y trouve son compte. « Entre le bois, la pierre et le métal des bâtiments, l’ambiance darwinienne a des allures de Berlin où le graff est roi ». Temple du street art, vous y trouverez successivement : « Le magasin général », le plus grand bistrot-réfectoire bio d’Europe par exemple pour boire une Darwin beer produite par les brasseurs Lalune aux Chantiers de la Garonne ; Ici, « tout est préparé sur place dans nos cuisines », explique la responsable du MG Maryline Daugreilh. La carte est flexitarienne pour satisfaire les végétariens ou les végétaliens et ceux qui ne le sont pas. Nous travaillons avec les producteurs en direct et avec les co-workers dont nous avons référencés les produits. Nous favorisons le zéro déchet et nous travaillons avec les Détritivores, une association d’ici, qui collecte les biodéchets pour les composter. Le magasin bio compte entre 300 et 400 références ; un peu plus loin un hangar dédié aux sports urbains et de glisse : skate, BMX et roller.  »Le skate–parc indoor » peut accueillir jusqu’à 300 skateurs pour cinq euros la journée, prix exceptionnel pour ce type d’activité ; également un surf shop et un magasin dédié à l’apithérapie, on peut également boire un café torréfié sur place de chez l’Alchimiste tout en jouant à des jeux de société ou en consultant des livres en libre accès. Des livres, que l’on peut se procurer en poussant la porte de la librairie Le Passeur toute proche ; À Darwin on met aussi les mains dans la terre. Au cœur de la friche militaire, la ferme Niel a mis en place des jardins et des potagers en permaculture. Une nature préservée qui abrite même des grenouilles et des abeilles. « La ferme urbaine est une expérimentation agricole en milieu urbain qui produit des centaines de légumes, des plantes aromatiques ou encore des fleurs. », explique Tanguy Baron qui s’occupe avec amour des poules et des oies du poulailler Poupoule ; Comme tout bon village qui se respecte, Darwin propose régulièrement des animations : concerts, soirées, expositions, projections, compétitions sportives… il se passe toujours quelque chose à Darwin !
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La Societé des Vieux Copains
87 Quai des Queyries
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Darwin : rien que le nom, tout un programme ! À deux pas du pont de pierre et du jardin botanique, sur le trajet de la randonnée « des deux ponts », DARWIN ECOSYSYÈME, le lieu alternatif de la rive droite est implanté au 87 quai de Queyries dans le quartier de la Bastide, sur le sited’uneancienne caserne désaffectée aujourd’hui éco-réhabilitée. Il est un des lieux les plus visités de la ville. Expérience sociologique inédite difficile à résumer tellement elle est multiforme, Darwin attire autant de profils différents que de projets novateurs. Entre les skateurs et passionnés de street-art, les entrepreneurs de la green économie, les fans de musique électro, les défenseurs de la biodiversité ou encore les « brunchers » du dimanche, chacun y trouve son compte. « Entre le bois, la pierre et le métal des bâtiments, l’ambiance darwinienne a des allures de Berlin où le graff est roi ». Temple du street art, vous y trouverez successivement : « Le magasin général », le plus grand bistrot-réfectoire bio d’Europe par exemple pour boire une Darwin beer produite par les brasseurs Lalune aux Chantiers de la Garonne ; Ici, « tout est préparé sur place dans nos cuisines », explique la responsable du MG Maryline Daugreilh. La carte est flexitarienne pour satisfaire les végétariens ou les végétaliens et ceux qui ne le sont pas. Nous travaillons avec les producteurs en direct et avec les co-workers dont nous avons référencés les produits. Nous favorisons le zéro déchet et nous travaillons avec les Détritivores, une association d’ici, qui collecte les biodéchets pour les composter. Le magasin bio compte entre 300 et 400 références ; un peu plus loin un hangar dédié aux sports urbains et de glisse : skate, BMX et roller.  »Le skate–parc indoor » peut accueillir jusqu’à 300 skateurs pour cinq euros la journée, prix exceptionnel pour ce type d’activité ; également un surf shop et un magasin dédié à l’apithérapie, on peut également boire un café torréfié sur place de chez l’Alchimiste tout en jouant à des jeux de société ou en consultant des livres en libre accès. Des livres, que l’on peut se procurer en poussant la porte de la librairie Le Passeur toute proche ; À Darwin on met aussi les mains dans la terre. Au cœur de la friche militaire, la ferme Niel a mis en place des jardins et des potagers en permaculture. Une nature préservée qui abrite même des grenouilles et des abeilles. « La ferme urbaine est une expérimentation agricole en milieu urbain qui produit des centaines de légumes, des plantes aromatiques ou encore des fleurs. », explique Tanguy Baron qui s’occupe avec amour des poules et des oies du poulailler Poupoule ; Comme tout bon village qui se respecte, Darwin propose régulièrement des animations : concerts, soirées, expositions, projections, compétitions sportives… il se passe toujours quelque chose à Darwin !
La place de Stalingrad, anciennement place du Pont, est une place située à la sortie du pont de Pierre, porte d’entrée sur la rive droite par la longue avenue Thiers. Le nom de cette place commémore la ville de Russie où les armées russes remportèrent une victoire décisive sur les armées allemandes du 19 septembre 1942 au 2 février 1943. Au numéro 13 de la place se trouve l'ancien théâtre de l'Alcazar. Son architecture se démarque du classicisme bordelais. Au premier étage une succession de baies jumelées évoque les palais florentins ou vénitiens. Ses façades conservent aussi les bustes de Pierrot et Colombine, allégorie de la danse et de la musique[3]. Ce café-concert a ouvert ses portes en 1861 et sera transformé en théâtre de music hall en 1892. Aujourd’hui c’est une résidence de standing. En juin 2005 est inaugurée Le Lion de Veilhan, une statue représentant un lion, de couleur bleu clair, de 8 m de long, 3 m de large et 6 m de haut, en matériaux composites, créée par Xavier Veilhan dans le cadre d’une commande publique d'oeuvres à installer le long des lignes de tramway. À faire absolument : une navette fluviale relie Stalingrad aux Quinconces puis aux Hangars.et son terminus : le pont d’Aquitaine à Lormont. Une manière originale et économique de découvrir Bordeaux autrement... Bistrots et restaurants au terminus sur les quais avant une retour par le même chemin. Horaire des navires : Lundi-vendredi : 7h-19h30 // Weekends, Fête : 8h45-20h
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Place de Stalingrad
Place de Stalingrad
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La place de Stalingrad, anciennement place du Pont, est une place située à la sortie du pont de Pierre, porte d’entrée sur la rive droite par la longue avenue Thiers. Le nom de cette place commémore la ville de Russie où les armées russes remportèrent une victoire décisive sur les armées allemandes du 19 septembre 1942 au 2 février 1943. Au numéro 13 de la place se trouve l'ancien théâtre de l'Alcazar. Son architecture se démarque du classicisme bordelais. Au premier étage une succession de baies jumelées évoque les palais florentins ou vénitiens. Ses façades conservent aussi les bustes de Pierrot et Colombine, allégorie de la danse et de la musique[3]. Ce café-concert a ouvert ses portes en 1861 et sera transformé en théâtre de music hall en 1892. Aujourd’hui c’est une résidence de standing. En juin 2005 est inaugurée Le Lion de Veilhan, une statue représentant un lion, de couleur bleu clair, de 8 m de long, 3 m de large et 6 m de haut, en matériaux composites, créée par Xavier Veilhan dans le cadre d’une commande publique d'oeuvres à installer le long des lignes de tramway. À faire absolument : une navette fluviale relie Stalingrad aux Quinconces puis aux Hangars.et son terminus : le pont d’Aquitaine à Lormont. Une manière originale et économique de découvrir Bordeaux autrement... Bistrots et restaurants au terminus sur les quais avant une retour par le même chemin. Horaire des navires : Lundi-vendredi : 7h-19h30 // Weekends, Fête : 8h45-20h
La base sous-marine de Bordeaux est l'une des cinq bases pour sous-marins construites par les Allemands sur la façade atlantique française au cours de la Seconde Guerre mondiale. Construite entre 1941 et 1943, elle accueillit des sous-marins italiens et allemands. Elle abrite désormais « Les bassins de Lumières », qui, à l’instar de la carrière des Lumières des Baux de Provence et de l’Atelier des Lumières à Paris, vous invite à une immersion totale en plusieurs dimensions dans une œuvre culturelle unique. Les Bassins de Lumières comprennent 4 bassins en eau, de 110 m de long sur 22 m de large et 12 m de hauteur. 90 vidéo-projecteurs et 80 enceintes qui permettent de projeter les images sur pas moins de 12.000 m2. Les Bassins de Lumières se présentent comme le centre d’art numérique le plus grand au monde. Ils représentent 3 fois la surface des Carrières de Lumières des Baux-de-Provence et 5 fois l’Atelier des Lumières de Paris. En ce moment : MONET, RENOIR, CHAGALL en journée suivis d’une exposition Yves Klein « L’infini bleu », et toujours Gustav KLIMT en soirée suivi de l’exposition Paul KLEE « peindre la musique ». Itinéraire : tram Bjusqu,à l’arrêt Brandebourg puis bus nº9 jusqu’à l’arrêt base sous-marine
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Betasom Múzeum
284 Bd Alfred Daney
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La base sous-marine de Bordeaux est l'une des cinq bases pour sous-marins construites par les Allemands sur la façade atlantique française au cours de la Seconde Guerre mondiale. Construite entre 1941 et 1943, elle accueillit des sous-marins italiens et allemands. Elle abrite désormais « Les bassins de Lumières », qui, à l’instar de la carrière des Lumières des Baux de Provence et de l’Atelier des Lumières à Paris, vous invite à une immersion totale en plusieurs dimensions dans une œuvre culturelle unique. Les Bassins de Lumières comprennent 4 bassins en eau, de 110 m de long sur 22 m de large et 12 m de hauteur. 90 vidéo-projecteurs et 80 enceintes qui permettent de projeter les images sur pas moins de 12.000 m2. Les Bassins de Lumières se présentent comme le centre d’art numérique le plus grand au monde. Ils représentent 3 fois la surface des Carrières de Lumières des Baux-de-Provence et 5 fois l’Atelier des Lumières de Paris. En ce moment : MONET, RENOIR, CHAGALL en journée suivis d’une exposition Yves Klein « L’infini bleu », et toujours Gustav KLIMT en soirée suivi de l’exposition Paul KLEE « peindre la musique ». Itinéraire : tram Bjusqu,à l’arrêt Brandebourg puis bus nº9 jusqu’à l’arrêt base sous-marine
Important centre névralgique où se croisent chaque jour employés, touristes et étudiants, elle doit sa physionomie à l'intendant de Guyenne Louis-Urbain-Aubert de Tourny, qui s'emploie à moderniser la ville dans la seconde moitié du xviiie siècle. Elle voit se dresser en son centre une ancienne porte de ville inspirée des arcs de triomphe antiques, la porte d'Aquitaine. La place de la Victoire se situe dans le prolongement de plusieurs axes majeurs de la capitale aquitaine, parmi lesquels la rue Sainte-Catherine - une des plus importantes rues piétonnes d'Europe, où se concentrent plusieurs centaines de boutiques de toutes sortes - le cours de la Somme et le cours de la Marne. La place de la Victoire est un endroit fort apprécié des étudiants et des jeunes en général pour sa vie nocturne, la place étant entourée de nombreux bars, cafés et services de restauration (brasseries, restaurants, sandwicheries et kebabs, etc.). La rue Ste-Catherine qui vous permettra de remonter jusqu’au Grand-Théâtre bâti sir l’emplacement de l’ancien forum romain, constituait l’ancienne voie romaine qui permettait de se rendre en Espagne. Itinéraire pour s’y rendre : tram B - station "Victoire"
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Place de la Victoire
Place de la Victoire
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Important centre névralgique où se croisent chaque jour employés, touristes et étudiants, elle doit sa physionomie à l'intendant de Guyenne Louis-Urbain-Aubert de Tourny, qui s'emploie à moderniser la ville dans la seconde moitié du xviiie siècle. Elle voit se dresser en son centre une ancienne porte de ville inspirée des arcs de triomphe antiques, la porte d'Aquitaine. La place de la Victoire se situe dans le prolongement de plusieurs axes majeurs de la capitale aquitaine, parmi lesquels la rue Sainte-Catherine - une des plus importantes rues piétonnes d'Europe, où se concentrent plusieurs centaines de boutiques de toutes sortes - le cours de la Somme et le cours de la Marne. La place de la Victoire est un endroit fort apprécié des étudiants et des jeunes en général pour sa vie nocturne, la place étant entourée de nombreux bars, cafés et services de restauration (brasseries, restaurants, sandwicheries et kebabs, etc.). La rue Ste-Catherine qui vous permettra de remonter jusqu’au Grand-Théâtre bâti sir l’emplacement de l’ancien forum romain, constituait l’ancienne voie romaine qui permettait de se rendre en Espagne. Itinéraire pour s’y rendre : tram B - station "Victoire"
Entourée de terrasses des bars et restaurants qui la bordent, cette place du centre-ville est idéalement placée pour boire un verre. Accessible depuis l’arrêt « Ste-Catherine » du tram A, à proximité de la place du Parlement et des quais, vous pourrez en profiter pour pousser la porte de son cinéma d’art-et-essai niché de manière originale dans une ancienne église.
Place Camille Jullian
Place Camille Jullian
Entourée de terrasses des bars et restaurants qui la bordent, cette place du centre-ville est idéalement placée pour boire un verre. Accessible depuis l’arrêt « Ste-Catherine » du tram A, à proximité de la place du Parlement et des quais, vous pourrez en profiter pour pousser la porte de son cinéma d’art-et-essai niché de manière originale dans une ancienne église.
La basilique Saint-Michel de Bordeaux est l'un des principaux lieux de culte catholique de la ville de Bordeaux. Bâtie du XIVè au XVIè siècle, elle est caractéristique du style gothique flamboyant. L'église a donné son nom au quartier dans lequel elle se situe. La basilique partage avec la cathédrale Saint-André (place Pey-Berland) la particularité d'être dotée d'un clocher indépendant du sanctuaire, un campanile. S'élevant à une hauteur de 114 mètres, il est le plus haut du Midi de la France et le troisième plus haut de l'hexagone[1] derrière la flèche des cathédrales de Rouen (151 mètres) et de Strasbourg (142 mètres). Sa base conserve une crypte qui servit longtemps d'ossuaire, puis de lieu d'exposition pour des « momies » exhumées au XIXè siècle lors de l'aménagement de la « place Meynard », ancien cimetière paroissial. Le campanile de la basilique Saint-Michel est doté d'un carillon de 22 cloches. NB : il fermera ses portes aux visiteurs le 31/10/2021 pendant 5 ans pour rénovation. Classée monument historique dès 1846, l'église Saint-Michel — devenue basilique mineure en 1903 — est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1998 au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Mesurant 75 mètres de long du chœur à l'entrée de la nef pour 38 mètres de large d'un croisillon à l'autre, la basilique est l'un des plus grands lieux de culte bordelais. Caractéristique du style gothique flamboyant, elle présente un plan en croix latine à triple vaisseau. La nef, haute de 23 mètres, compte quatre travées et est entièrement couverte d'une voûte d'ogives oblongue, de même que les bas-côtés. Un large transept saillant sépare symboliquement la nef du chœur, formé de trois travées et qui reprend les dispositions de la nef. Trois absidioles polygonales ferment l'ensemble. Les bas-côtés sont doublés d'une série de 17 chapelles latérales, chacune d'elles étant dédiée à une confrérie ou à une corporation. Nombre de ces chapelles conservent des œuvres d'art. Ainsi, la chapelle Saint-Jacques, construite de 1470 à 1475, possède un retable en bois du xviie siècle. Celui-ci est orné en son centre d'un tableau représentant « l'apothéose de Saint-Jacques » (1632). La chapelle abrite par ailleurs le tombeau d'un jacquet, la chapelle étant dédiée au pèlerins en route vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Plus loin, la chapelle de Ferron est ornée d'une composition sculptée reprenant le thème de la déposition de croix (1493)[8]. Une autre chapelle est dédiée à Sainte Catherine, patronne des mariniers. Itinéraire : tram C - station St-Michel. Profitez-en pour flâner dans ce quartier cosmopolite récemment rénové, siège de nombreux cafés, bars et restaurants, du marché des Capucins et de ses rues et terrasses animés.
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Szent Mihály bazilika
16 Place Meynard
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La basilique Saint-Michel de Bordeaux est l'un des principaux lieux de culte catholique de la ville de Bordeaux. Bâtie du XIVè au XVIè siècle, elle est caractéristique du style gothique flamboyant. L'église a donné son nom au quartier dans lequel elle se situe. La basilique partage avec la cathédrale Saint-André (place Pey-Berland) la particularité d'être dotée d'un clocher indépendant du sanctuaire, un campanile. S'élevant à une hauteur de 114 mètres, il est le plus haut du Midi de la France et le troisième plus haut de l'hexagone[1] derrière la flèche des cathédrales de Rouen (151 mètres) et de Strasbourg (142 mètres). Sa base conserve une crypte qui servit longtemps d'ossuaire, puis de lieu d'exposition pour des « momies » exhumées au XIXè siècle lors de l'aménagement de la « place Meynard », ancien cimetière paroissial. Le campanile de la basilique Saint-Michel est doté d'un carillon de 22 cloches. NB : il fermera ses portes aux visiteurs le 31/10/2021 pendant 5 ans pour rénovation. Classée monument historique dès 1846, l'église Saint-Michel — devenue basilique mineure en 1903 — est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1998 au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Mesurant 75 mètres de long du chœur à l'entrée de la nef pour 38 mètres de large d'un croisillon à l'autre, la basilique est l'un des plus grands lieux de culte bordelais. Caractéristique du style gothique flamboyant, elle présente un plan en croix latine à triple vaisseau. La nef, haute de 23 mètres, compte quatre travées et est entièrement couverte d'une voûte d'ogives oblongue, de même que les bas-côtés. Un large transept saillant sépare symboliquement la nef du chœur, formé de trois travées et qui reprend les dispositions de la nef. Trois absidioles polygonales ferment l'ensemble. Les bas-côtés sont doublés d'une série de 17 chapelles latérales, chacune d'elles étant dédiée à une confrérie ou à une corporation. Nombre de ces chapelles conservent des œuvres d'art. Ainsi, la chapelle Saint-Jacques, construite de 1470 à 1475, possède un retable en bois du xviie siècle. Celui-ci est orné en son centre d'un tableau représentant « l'apothéose de Saint-Jacques » (1632). La chapelle abrite par ailleurs le tombeau d'un jacquet, la chapelle étant dédiée au pèlerins en route vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Plus loin, la chapelle de Ferron est ornée d'une composition sculptée reprenant le thème de la déposition de croix (1493)[8]. Une autre chapelle est dédiée à Sainte Catherine, patronne des mariniers. Itinéraire : tram C - station St-Michel. Profitez-en pour flâner dans ce quartier cosmopolite récemment rénové, siège de nombreux cafés, bars et restaurants, du marché des Capucins et de ses rues et terrasses animés.
33 helybéli ajánlásával
Holy Cross Church in Bordeaux
Place Pierre Renaudel
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Musées

Partez à la découverte du patrimoine de Bordeaux et de sa région, de la préhistoire à l'époque contemporaine. Un focus intéressant sur le passé négrier et esclavagiste de la ville à l’époque du « commerce triangulaire » ; et une exposition temporaire à ne pas rater pour les amateurs de BD : Hugo PRATT et son célèbre héros aventurier Corto Maltese... S’y trouve le cénotaphe du célèbre écrivain Michel de Montaigne qui fut maire de Bordeaux de 1581 à 1589 (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Michel_de_Montaigne). Des fouilles archéologiques sont en cours pour confirmer que c,est bien sa dépouille qui se trouve à l’intérieur (https://www.bordeaux.fr/p139600/ouverture-du-tombeau-presume-de-montaigne). Itinéraire : tram À - station Hôtel de Ville et 2 min à pied où prendre la correspondance tram B - station Musée d’Aqutaine 1° arrêt
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Musée d'Aquitaine
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Partez à la découverte du patrimoine de Bordeaux et de sa région, de la préhistoire à l'époque contemporaine. Un focus intéressant sur le passé négrier et esclavagiste de la ville à l’époque du « commerce triangulaire » ; et une exposition temporaire à ne pas rater pour les amateurs de BD : Hugo PRATT et son célèbre héros aventurier Corto Maltese... S’y trouve le cénotaphe du célèbre écrivain Michel de Montaigne qui fut maire de Bordeaux de 1581 à 1589 (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Michel_de_Montaigne). Des fouilles archéologiques sont en cours pour confirmer que c,est bien sa dépouille qui se trouve à l’intérieur (https://www.bordeaux.fr/p139600/ouverture-du-tombeau-presume-de-montaigne). Itinéraire : tram À - station Hôtel de Ville et 2 min à pied où prendre la correspondance tram B - station Musée d’Aqutaine 1° arrêt
Un lieu incontournable pour les amateurs d’art contemporain. Logé dans un ancien entrepôt de grains, il possède de plus un bon restaurant en terrasse. Itinéraire : tram B - station Quinconces
416 helybéli ajánlásával
CAPC kortárs művészeti múzeum Bordeaux-ban
7 Rue Ferrere
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Un lieu incontournable pour les amateurs d’art contemporain. Logé dans un ancien entrepôt de grains, il possède de plus un bon restaurant en terrasse. Itinéraire : tram B - station Quinconces
Musée unique en France, installé dans la halle des Fermes du Roy datant du XVIIIe siècle qui borde la Place de la Bourse. « Visites à la carte », supports ludiques adaptés aux visiteurs de 3 à 12 ans, sont disponibles pour appréhender la douane et ses missions selon quatre thématiques : « Il était une fois un bâtiment », « Newton, chien douanier », « Douanier [contre]bandier », « Le zoo du musée » ; tandis que le public adulte peut bénéficier du parcours de visite (en français, anglais, espagnol et italien) et des audioguides pour une incursion au plus près des collections. À noter : Dans le cadre de l’année de la Bande dessinée initiée par le Ministère de la Culture, l’exposition temporaire « B[D]ouane » apportera une lecture inédite et décalée de la douane et de ses missions à travers le regard d’auteurs de bandes dessinées.
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Musee national des douanes
1 Pl. de la Bourse
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Musée unique en France, installé dans la halle des Fermes du Roy datant du XVIIIe siècle qui borde la Place de la Bourse. « Visites à la carte », supports ludiques adaptés aux visiteurs de 3 à 12 ans, sont disponibles pour appréhender la douane et ses missions selon quatre thématiques : « Il était une fois un bâtiment », « Newton, chien douanier », « Douanier [contre]bandier », « Le zoo du musée » ; tandis que le public adulte peut bénéficier du parcours de visite (en français, anglais, espagnol et italien) et des audioguides pour une incursion au plus près des collections. À noter : Dans le cadre de l’année de la Bande dessinée initiée par le Ministère de la Culture, l’exposition temporaire « B[D]ouane » apportera une lecture inédite et décalée de la douane et de ses missions à travers le regard d’auteurs de bandes dessinées.
Le MMM (Musée Mer Marine) vous accueille depuis 2019 dans son univers à la croisée des domaines de l’histoire, la science et l’art. Installé au cœur des bassins à flot, port historique du Bordeaux du XIXe siècle, le Musée Mer Marine est un lieu d'échanges et de mise en valeur du patrimoine maritime mondial. Son fondateur, Norbert Fradin, a souhaité réaffirmer le lien entre l'océan et la ville de Bordeaux, dont le « Port de la Lune », inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2007, est par ailleurs devenu une escale reconnue des croisières internationales. BATIMENT EMBLEMATIQUE La conception du musée a été confiée à l'architecte bordelais Olivier Brochet, reconnu dans la création des musées (Musée Fabre de Montpellier, le Musée de l'Orangerie à Paris, Nouveau Musée de l'Homme au Trocadéro). L'édifice constitue un ensemble monumental d'une surface globale de plus de 13 800 m2, sur 7 niveaux successifs, et s'élève jusqu'à une hauteur totale de 45 m. PARCOURS PERMANENT « Au delà de l'horizon » Sur 6000 m2 de salles d’exposition, le Musée Mer Marine retrace l'histoire de la mer et du rapport que les êtres humains ont entretenu avec elle, du rêve de conquête au désir de préserver, en passant par l'exploitation ou la crainte superstitieuse. En s'appuyant sur une riche collection d’oeuvres d’art, objets de marine et maquettes de bateaux de toutes les époques, il parcourt l'histoire des techniques de navigation et déploie dans l'espace la richesse du savoir-faire mis en œuvre par les marins du monde entier, au fil des époques. Associés à d'importants dispositifs multimédias, les cartes, modèles de bateaux, objets de marine et œuvres d'art par centaines se déploient dans une scénographie moderne et interactive, destinée à interroger, à expliquer, à éblouir ... à regarder « au-delà des horizons ». Ce parcours permanent témoigne ainsi d'une autre intention du créateur du musée : acquérir le public à la cause du patrimoine, qu'il soit culturel ou naturel. ESPACE TEMPORAIRE "100 MIllions d'Années sous les Mers" Pour la première fois en France, un musée met à l'honneur les "poissons de pierre" du Liban, à travers une exceptionnelle collection privée de fossiles du Crétacé. PLANETE OCEAN Le visiteur y découvre l’évolution des océans depuis leur formation jusqu’à nos jours, il est amené à replacer sa propre existence dans l’immense histoire de l’univers marin, de sa faune et de sa flore, aujourd’hui menacés par l’activité humaine. HORAIRES De 13h à 19 h du mardi au vendredi De 10 h30 à 19 h les samedis, dimanches et jours fériés Dernier accès aux caisses 30 minutes avant la fermeture Fermé le 1er janvier, 24 mai 2021, 14 juillet et 25 décembre. TARIFS EXPOSITION PERMANENTE Tarif plein : 14€ | Tarif réduit : 11€ | Gratuit pour les moins de 6 ans et les détenteurs du Bordeaux Métropole City Pass PARKING : Interparking La Cité du Vin
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Musée Mer Marine Bordeaux
89 Rue des Étrangers
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Le MMM (Musée Mer Marine) vous accueille depuis 2019 dans son univers à la croisée des domaines de l’histoire, la science et l’art. Installé au cœur des bassins à flot, port historique du Bordeaux du XIXe siècle, le Musée Mer Marine est un lieu d'échanges et de mise en valeur du patrimoine maritime mondial. Son fondateur, Norbert Fradin, a souhaité réaffirmer le lien entre l'océan et la ville de Bordeaux, dont le « Port de la Lune », inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2007, est par ailleurs devenu une escale reconnue des croisières internationales. BATIMENT EMBLEMATIQUE La conception du musée a été confiée à l'architecte bordelais Olivier Brochet, reconnu dans la création des musées (Musée Fabre de Montpellier, le Musée de l'Orangerie à Paris, Nouveau Musée de l'Homme au Trocadéro). L'édifice constitue un ensemble monumental d'une surface globale de plus de 13 800 m2, sur 7 niveaux successifs, et s'élève jusqu'à une hauteur totale de 45 m. PARCOURS PERMANENT « Au delà de l'horizon » Sur 6000 m2 de salles d’exposition, le Musée Mer Marine retrace l'histoire de la mer et du rapport que les êtres humains ont entretenu avec elle, du rêve de conquête au désir de préserver, en passant par l'exploitation ou la crainte superstitieuse. En s'appuyant sur une riche collection d’oeuvres d’art, objets de marine et maquettes de bateaux de toutes les époques, il parcourt l'histoire des techniques de navigation et déploie dans l'espace la richesse du savoir-faire mis en œuvre par les marins du monde entier, au fil des époques. Associés à d'importants dispositifs multimédias, les cartes, modèles de bateaux, objets de marine et œuvres d'art par centaines se déploient dans une scénographie moderne et interactive, destinée à interroger, à expliquer, à éblouir ... à regarder « au-delà des horizons ». Ce parcours permanent témoigne ainsi d'une autre intention du créateur du musée : acquérir le public à la cause du patrimoine, qu'il soit culturel ou naturel. ESPACE TEMPORAIRE "100 MIllions d'Années sous les Mers" Pour la première fois en France, un musée met à l'honneur les "poissons de pierre" du Liban, à travers une exceptionnelle collection privée de fossiles du Crétacé. PLANETE OCEAN Le visiteur y découvre l’évolution des océans depuis leur formation jusqu’à nos jours, il est amené à replacer sa propre existence dans l’immense histoire de l’univers marin, de sa faune et de sa flore, aujourd’hui menacés par l’activité humaine. HORAIRES De 13h à 19 h du mardi au vendredi De 10 h30 à 19 h les samedis, dimanches et jours fériés Dernier accès aux caisses 30 minutes avant la fermeture Fermé le 1er janvier, 24 mai 2021, 14 juillet et 25 décembre. TARIFS EXPOSITION PERMANENTE Tarif plein : 14€ | Tarif réduit : 11€ | Gratuit pour les moins de 6 ans et les détenteurs du Bordeaux Métropole City Pass PARKING : Interparking La Cité du Vin
Le muséum d'histoire naturelle de Bordeaux, désormais appelé Muséum de Bordeaux - sciences et nature, est un musée d'histoire naturelle localisé dans le Jardin Public en plein cœur de Bordeaux. L’établissement a été fermé à partir de 2008 pour des travaux de rénovation et de la mise en sécurité[4].Il a rouvert le 31 mars 2019 après dix ans de fermeture. Il est possible d'accéder au Muséum par les lignes (C) (D) station Jardin public et Fondaudège Muséum, ainsi que par les lignes (Bus) 2 3 4 12 15 26. Parmi des spécimens patrimoniaux remarquables on trouve par exemple : « Miss Fanny », éléphante d'Asie morte en 1892[30], squelette d'une baleine bleue échouée en 1879[31], la collection de coquilles de Nouvelle-Calédonie, dite collection Lambert-Montrouzier[32], les collections concernant la Préhistoire, notamment la collection Daleau[33] et la collection Harlé[34], mais aussi des collections constituées au cours du xxe siècle, comme la collection de zoologie médicale en liquide. Mais aussi de nombreux fossiles (notamment des vertébrés du quaternaire de la grotte de Pair-non-Pair, et des invertébrés du tertiaire de la réserve géologique de Saucats) et des papillons ou encore des spécimens des espèces éteintes : un loup de Tasmanie ou encore une tortue géante des Seychelles (non éteinte à ce jour, mais avec un statut UICN vulnérable). L'essentiel des collections concernant la Préhistoire au muséum est constitué par des séries paléontologiques de vertébrés quaternaires. Vous y découvrirez en particulier une collection unique de "reptiles", principalement des squamates (serpents, lézards, caméléons), des amphibiens (dont une série de développement de grenouille), des "poissons" (murènes, un esturgeon, un requin marteau) et des arthropodes (insectes (termites), arachnides (scorpions) et myriapodes). Ainsi que le squelette de Rorqual bleu (Balaenoptera musculus). Passionnant et...impressionnant !
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Bordeaux Természettudományi Múzeum
5 Pl. Bardineau
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Le muséum d'histoire naturelle de Bordeaux, désormais appelé Muséum de Bordeaux - sciences et nature, est un musée d'histoire naturelle localisé dans le Jardin Public en plein cœur de Bordeaux. L’établissement a été fermé à partir de 2008 pour des travaux de rénovation et de la mise en sécurité[4].Il a rouvert le 31 mars 2019 après dix ans de fermeture. Il est possible d'accéder au Muséum par les lignes (C) (D) station Jardin public et Fondaudège Muséum, ainsi que par les lignes (Bus) 2 3 4 12 15 26. Parmi des spécimens patrimoniaux remarquables on trouve par exemple : « Miss Fanny », éléphante d'Asie morte en 1892[30], squelette d'une baleine bleue échouée en 1879[31], la collection de coquilles de Nouvelle-Calédonie, dite collection Lambert-Montrouzier[32], les collections concernant la Préhistoire, notamment la collection Daleau[33] et la collection Harlé[34], mais aussi des collections constituées au cours du xxe siècle, comme la collection de zoologie médicale en liquide. Mais aussi de nombreux fossiles (notamment des vertébrés du quaternaire de la grotte de Pair-non-Pair, et des invertébrés du tertiaire de la réserve géologique de Saucats) et des papillons ou encore des spécimens des espèces éteintes : un loup de Tasmanie ou encore une tortue géante des Seychelles (non éteinte à ce jour, mais avec un statut UICN vulnérable). L'essentiel des collections concernant la Préhistoire au muséum est constitué par des séries paléontologiques de vertébrés quaternaires. Vous y découvrirez en particulier une collection unique de "reptiles", principalement des squamates (serpents, lézards, caméléons), des amphibiens (dont une série de développement de grenouille), des "poissons" (murènes, un esturgeon, un requin marteau) et des arthropodes (insectes (termites), arachnides (scorpions) et myriapodes). Ainsi que le squelette de Rorqual bleu (Balaenoptera musculus). Passionnant et...impressionnant !
"Depuis plus de 2000 ans à Bordeaux, le soleil a rendez-vous avec la lune. C’est en effet au coeur du port de la lune formé par une majestueuse courbe de la Garonne que les grands négociants vont élever l’or de Bordeaux dans le secret des chais des Chartrons : ces vins nés du soleil d’Aquitaine dont ils vont porter la renommée dans le monde entier. Le Musée du vin et du Négoce de Bordeaux leur rend hommage. À la fin de votre visite, une dégustation de deux vins vous sera offerte.
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Bordeaux Bor- és Kereskedelmi Múzeum
41 Rue Borie
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"Depuis plus de 2000 ans à Bordeaux, le soleil a rendez-vous avec la lune. C’est en effet au coeur du port de la lune formé par une majestueuse courbe de la Garonne que les grands négociants vont élever l’or de Bordeaux dans le secret des chais des Chartrons : ces vins nés du soleil d’Aquitaine dont ils vont porter la renommée dans le monde entier. Le Musée du vin et du Négoce de Bordeaux leur rend hommage. À la fin de votre visite, une dégustation de deux vins vous sera offerte.
Le musée de l'Histoire Maritime de Bordeaux est un musée privé situé à Bordeaux, dans le département de la Gironde, en France. Ouvert en 2017, en association avec le musée du Vin et du Négoce de Bordeaux[1], son objectif est de faire découvrir l'histoire du port de la lune par le biais de personnalités et lignées familiales qui ont contribué à son développement[1]. Grâce à une exposition permanente constituée de pièces de collections des familles bordelaises et un parcours thématique, le musée rend hommage à vingt siècles d'histoire maritime bordelaise Situé au 31 rue Borie, près des quais, sur la rive gauche de Bordeaux, ce musée a pour but de partager avec ses visiteurs l’héritage maritime, portuaire et fluvial du port depuis l’époque gallo-romaine. Les collections sont présentées dans le musée à travers un parcours chronologique. La visite débute avec une représentation de Bordeaux au IIè siècle, qui fait ressortir la vocation maritime et commerciale de la ville. Sa situation géographique, entre océan Atlantique et fleuve, tout en passant par l’Estuaire de la Gironde, en font un axe majeur. Le premier port, appelé emporium, voit le jour dès l’Antiquité. Dévoilant l’importance à travers les siècles, du port, de la ville et plus largement de l’histoire française et internationale liée aux échanges maritimes, le musée met l’accent à travers de nombreux panneaux sur des figures remarquables notamment : remarquables : Aliénor d'Aquitaine (1137–1204), Duchesse d'Aquitaine, mariée au futur Louis VII en 1137 dans la cathédrale Saint-André de Bordeaux, elle est à l'origine des Rôles d'Olérons[12] premier Code maritime ; Michel de Montaigne (1533 - 1592), maire de Bordeaux et humaniste qui a cosigné la construction du Phare de Cordouan ; Jaufré Rudel (xiie siècle), troubadour surnommé « le Prince de Blaye » ; Le Marquis de Lafayette (1757-1834), acteur de l’indépendance américaine face aux anglais, il fait plusieurs arrêts à Bordeaux lors de son départ vers l'Amérique ; Montesquieu (1689-1755), philosophe des Lumières ; fervent opposant à l’esclavage[13] qu'il dénonce dans le livre XV de De l’esprit des lois ; Pierre Balguerie-Stuttenberg (1778-1835), négociant, armateur et banquier, qui a soutenu la construction du Pont de pierre de Bordeaux ; Étienne Denis (1799-1879), fondateur de comptoirs de commerce ; André Ballande (1857-1936), négociant, armateur, et exportateur de nickel, il dirige les établissements Ballande basés sur le commerce de vins bordelais et devient adjoint au maire de Bordeaux ; Antoine-Dominique Bordes (1815-1883), un des créateurs d'une compagnie de voiliers joignant Bordeaux et Valparaíso et qui acquiert la septième flotte française de 1898 ; Les dons des familles bordelaises ont permis de créer une collection riche et diversifiée pour faire revivre au public l’histoire du port de Bordeaux à travers 2000 ans d’histoire. Le musée expose de nombreux documents , des gravures et des tableaux : une gravure aborde par exemple l’histoire du Phare de Cordouan ; Des cartes marines dévoilant une cartographie marine devenant de plus en plus précise ; Les instruments de navigation comme la boussole, l’astrolabe et le sextant ; Des maquettes de navire : le knarr (navire marchand viking), la kogge, le coureau et la gabare (navires de commerce, illustrant l’important du commerce avec l’arrière-pays), le brigantin (type de navire corsaire), le cap-hornier (voilier de charge), le navire hôpital (pour les naufragés), le bateau à roue et à vapeur, le terre neuve (pour la pêche à la morue) ; Des livres anciens comme la Jurade de Bordeaux ; Des photographies représentant les diverses activités du port, ses destructions et ses aménagements au fil des années. Témoignages historiques, elles évoquent également les évolutions les plus récentes à travers les différents appontements de Bassens (Gironde), Grattenquina, Ambès, Blaye, Pauillac et du Verdon , et enfin le réaménagement des quais bordelais pour l'accessibilité en centre-ville des paquebots de croisière ; Une autre partie des vitrines aborde le commerce du vin, important pour la ville dès l’Antiquité. L’exportation devient plus simple dès le XVIIIè siècle avec l’apparition des bouteilles de verre ; au XIXè siècle, c’est le classement qui permet d’assouvir la notoriété des grands crus. Enfin, au xxe siècle, l’exportation internationale est omniprésente. Les vitrines dévoilent l’importance de Bordeaux comme grand port colonial et assume le passé négrier de la ville dans un souci de mémoire et de pédagogie. En France, Nantes est le plus important port négrier, mais Bordeaux le suit de près avec près de 480 expéditions entre 1672 et 1837 à l’origine de la déportation de 120 000 à 150 000 noirs. Les vitrines dévoilent les denrées issues du système économique instauré par le commerce triangulaire, et soulignent l’exploitation des richesses des colonies comme le sucre, le café, le cacao mais aussi en évoquant la boisson des marins, le rhum, et des productions telles que la vanille, le giroflier, la cannelle, la muscade, le poivre, et le tapioca. Une visite qui donnera du sens à votre escapade bordelaise.
Musee de l'Histoire Maritime de Bordeaux
31 Rue Borie
Le musée de l'Histoire Maritime de Bordeaux est un musée privé situé à Bordeaux, dans le département de la Gironde, en France. Ouvert en 2017, en association avec le musée du Vin et du Négoce de Bordeaux[1], son objectif est de faire découvrir l'histoire du port de la lune par le biais de personnalités et lignées familiales qui ont contribué à son développement[1]. Grâce à une exposition permanente constituée de pièces de collections des familles bordelaises et un parcours thématique, le musée rend hommage à vingt siècles d'histoire maritime bordelaise Situé au 31 rue Borie, près des quais, sur la rive gauche de Bordeaux, ce musée a pour but de partager avec ses visiteurs l’héritage maritime, portuaire et fluvial du port depuis l’époque gallo-romaine. Les collections sont présentées dans le musée à travers un parcours chronologique. La visite débute avec une représentation de Bordeaux au IIè siècle, qui fait ressortir la vocation maritime et commerciale de la ville. Sa situation géographique, entre océan Atlantique et fleuve, tout en passant par l’Estuaire de la Gironde, en font un axe majeur. Le premier port, appelé emporium, voit le jour dès l’Antiquité. Dévoilant l’importance à travers les siècles, du port, de la ville et plus largement de l’histoire française et internationale liée aux échanges maritimes, le musée met l’accent à travers de nombreux panneaux sur des figures remarquables notamment : remarquables : Aliénor d'Aquitaine (1137–1204), Duchesse d'Aquitaine, mariée au futur Louis VII en 1137 dans la cathédrale Saint-André de Bordeaux, elle est à l'origine des Rôles d'Olérons[12] premier Code maritime ; Michel de Montaigne (1533 - 1592), maire de Bordeaux et humaniste qui a cosigné la construction du Phare de Cordouan ; Jaufré Rudel (xiie siècle), troubadour surnommé « le Prince de Blaye » ; Le Marquis de Lafayette (1757-1834), acteur de l’indépendance américaine face aux anglais, il fait plusieurs arrêts à Bordeaux lors de son départ vers l'Amérique ; Montesquieu (1689-1755), philosophe des Lumières ; fervent opposant à l’esclavage[13] qu'il dénonce dans le livre XV de De l’esprit des lois ; Pierre Balguerie-Stuttenberg (1778-1835), négociant, armateur et banquier, qui a soutenu la construction du Pont de pierre de Bordeaux ; Étienne Denis (1799-1879), fondateur de comptoirs de commerce ; André Ballande (1857-1936), négociant, armateur, et exportateur de nickel, il dirige les établissements Ballande basés sur le commerce de vins bordelais et devient adjoint au maire de Bordeaux ; Antoine-Dominique Bordes (1815-1883), un des créateurs d'une compagnie de voiliers joignant Bordeaux et Valparaíso et qui acquiert la septième flotte française de 1898 ; Les dons des familles bordelaises ont permis de créer une collection riche et diversifiée pour faire revivre au public l’histoire du port de Bordeaux à travers 2000 ans d’histoire. Le musée expose de nombreux documents , des gravures et des tableaux : une gravure aborde par exemple l’histoire du Phare de Cordouan ; Des cartes marines dévoilant une cartographie marine devenant de plus en plus précise ; Les instruments de navigation comme la boussole, l’astrolabe et le sextant ; Des maquettes de navire : le knarr (navire marchand viking), la kogge, le coureau et la gabare (navires de commerce, illustrant l’important du commerce avec l’arrière-pays), le brigantin (type de navire corsaire), le cap-hornier (voilier de charge), le navire hôpital (pour les naufragés), le bateau à roue et à vapeur, le terre neuve (pour la pêche à la morue) ; Des livres anciens comme la Jurade de Bordeaux ; Des photographies représentant les diverses activités du port, ses destructions et ses aménagements au fil des années. Témoignages historiques, elles évoquent également les évolutions les plus récentes à travers les différents appontements de Bassens (Gironde), Grattenquina, Ambès, Blaye, Pauillac et du Verdon , et enfin le réaménagement des quais bordelais pour l'accessibilité en centre-ville des paquebots de croisière ; Une autre partie des vitrines aborde le commerce du vin, important pour la ville dès l’Antiquité. L’exportation devient plus simple dès le XVIIIè siècle avec l’apparition des bouteilles de verre ; au XIXè siècle, c’est le classement qui permet d’assouvir la notoriété des grands crus. Enfin, au xxe siècle, l’exportation internationale est omniprésente. Les vitrines dévoilent l’importance de Bordeaux comme grand port colonial et assume le passé négrier de la ville dans un souci de mémoire et de pédagogie. En France, Nantes est le plus important port négrier, mais Bordeaux le suit de près avec près de 480 expéditions entre 1672 et 1837 à l’origine de la déportation de 120 000 à 150 000 noirs. Les vitrines dévoilent les denrées issues du système économique instauré par le commerce triangulaire, et soulignent l’exploitation des richesses des colonies comme le sucre, le café, le cacao mais aussi en évoquant la boisson des marins, le rhum, et des productions telles que la vanille, le giroflier, la cannelle, la muscade, le poivre, et le tapioca. Une visite qui donnera du sens à votre escapade bordelaise.
Le musée de la Création Franche est un musée municipal de la ville de Bègles (Gironde) consacré aux créateurs affiliés à l'art brut, l’art naïf, autodidacte, singulier ou outsider. Il s’est énormément développé et enrichi depuis sa création en 1986 sous la forme de la galerie « Imago » par l’ancien secrétaire général de la ville de Bègles, Gérard Sendrey. Créé sous sa forme actuelle en 1996 sous l’impulsion du maire de Bègles Noël Mamère, le musée municipal héberge en 2016 quelque 14 000 œuvres. Sa collection est née de celle de Claude Massé, ami de Jean Dubuffet. Le Fonds de la création artistique brute et inventive est répertorié à la BnF ainsi que les diverses publications éditées à l'occasion d'exposition. Le musée est cité pour sa collection d'art hors-les-normes dans le « Morley 2001 ». Pour tous ceux qui aiment sortir des sentiers battus. L’occasion d’une visite à la dernière sècherie de morue encore en activité (Bordeaux était un important port d’attache pour les « morutiers » qui partaient pêcher sur les bancs de Terre-Neuve) : SAR OCEAN - 60 avenue Boyer à Bègles Tél. : (33) 05 56 85 94 05 : SAR Océan est spécialisée dans la vente et la transformation des produits de la mer depuis 1843. Morue, brandade de morue, accras de morue…
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Musee de la Creation Franche
58 Av. Maréchal de Lattre de Tassigny
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Le musée de la Création Franche est un musée municipal de la ville de Bègles (Gironde) consacré aux créateurs affiliés à l'art brut, l’art naïf, autodidacte, singulier ou outsider. Il s’est énormément développé et enrichi depuis sa création en 1986 sous la forme de la galerie « Imago » par l’ancien secrétaire général de la ville de Bègles, Gérard Sendrey. Créé sous sa forme actuelle en 1996 sous l’impulsion du maire de Bègles Noël Mamère, le musée municipal héberge en 2016 quelque 14 000 œuvres. Sa collection est née de celle de Claude Massé, ami de Jean Dubuffet. Le Fonds de la création artistique brute et inventive est répertorié à la BnF ainsi que les diverses publications éditées à l'occasion d'exposition. Le musée est cité pour sa collection d'art hors-les-normes dans le « Morley 2001 ». Pour tous ceux qui aiment sortir des sentiers battus. L’occasion d’une visite à la dernière sècherie de morue encore en activité (Bordeaux était un important port d’attache pour les « morutiers » qui partaient pêcher sur les bancs de Terre-Neuve) : SAR OCEAN - 60 avenue Boyer à Bègles Tél. : (33) 05 56 85 94 05 : SAR Océan est spécialisée dans la vente et la transformation des produits de la mer depuis 1843. Morue, brandade de morue, accras de morue…

Ponts

Le pont de pierre, construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822, est un pont à voûtes en maçonnerie franchissant la Garonne à Bordeaux. Il permet de relier le centre-ville au quartier de La Bastide, sur la rive droite. 4 000 ouvriers y travaillèrent. D'une longueur de 487 mètres, l'ouvrage présente 17 arches construites sur 16 piles. [NB : Contrairement à une légende populaire, il n'a jamais été décidé de construire le pont avec 17 arches pour les faire correspondre au nombre de lettres dans Napoléon Bonaparte : à l'origine, le pont devait compter 19 arches, mais pour des questions budgétaires surtout, deux arches ont finalement été retirées du projet]. Le pont, d'une largeur initiale de 14,6 mètres, est passé à une largeur de 19 mètres en 1954. Il est construit en pierre et en brique, avec la particularité de comporter des espaces vides intérieurs. Depuis l'Antiquité, Bordeaux se heurtait à l'infranchissable Garonne, animée par le flux et le reflux des marées et sujette à des crues violentes. Pour pénétrer dans la ville les voyageurs devaient traverser le fleuve sur des bacs. La construction fut ordonnée par Napoléon lors de son passage pour se rendre à Bayonne en 1808. Elle se heurta à d’innombrables difficultés techniques en raison de la largeur du fleuve et de l’impétuosité de son courant, soumis à l’influence contraire des marées océaniques qui remontent jusqu’à Bordeaux. Les piles sont construites sur 220 pieux de pin des Landes et de sapin, enfoncés d'une dizaine de mètres de profondeur jusqu'au terrain stable. Les pieux ont été recépés à 4 mètres sous le niveau des basses eaux. Les têtes des pieux sont reliées par un chevêtre, et les vides ont été comblés par des pierres. C'est grâce à une cloche de plongée empruntée aux Britanniques que les piliers du pont sont stabilisés. La brique de parement extérieur provient de la vallée du Dropt. Les briques de la maçonnerie intérieure sont fabriquées à La Bastide, avec du limon de la Garonne, et cuites grâce à deux fours. La pierre est extraite des carrières de Saint-Macaire. Son durcissement au contact de l'air et de l'eau lui a donné une grande résistance. Jusqu’en 1965, il fut l’unique axe de franchissement de la Garonne à Bordeaux.
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Pont de Pierre
Pont de Pierre
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Le pont de pierre, construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822, est un pont à voûtes en maçonnerie franchissant la Garonne à Bordeaux. Il permet de relier le centre-ville au quartier de La Bastide, sur la rive droite. 4 000 ouvriers y travaillèrent. D'une longueur de 487 mètres, l'ouvrage présente 17 arches construites sur 16 piles. [NB : Contrairement à une légende populaire, il n'a jamais été décidé de construire le pont avec 17 arches pour les faire correspondre au nombre de lettres dans Napoléon Bonaparte : à l'origine, le pont devait compter 19 arches, mais pour des questions budgétaires surtout, deux arches ont finalement été retirées du projet]. Le pont, d'une largeur initiale de 14,6 mètres, est passé à une largeur de 19 mètres en 1954. Il est construit en pierre et en brique, avec la particularité de comporter des espaces vides intérieurs. Depuis l'Antiquité, Bordeaux se heurtait à l'infranchissable Garonne, animée par le flux et le reflux des marées et sujette à des crues violentes. Pour pénétrer dans la ville les voyageurs devaient traverser le fleuve sur des bacs. La construction fut ordonnée par Napoléon lors de son passage pour se rendre à Bayonne en 1808. Elle se heurta à d’innombrables difficultés techniques en raison de la largeur du fleuve et de l’impétuosité de son courant, soumis à l’influence contraire des marées océaniques qui remontent jusqu’à Bordeaux. Les piles sont construites sur 220 pieux de pin des Landes et de sapin, enfoncés d'une dizaine de mètres de profondeur jusqu'au terrain stable. Les pieux ont été recépés à 4 mètres sous le niveau des basses eaux. Les têtes des pieux sont reliées par un chevêtre, et les vides ont été comblés par des pierres. C'est grâce à une cloche de plongée empruntée aux Britanniques que les piliers du pont sont stabilisés. La brique de parement extérieur provient de la vallée du Dropt. Les briques de la maçonnerie intérieure sont fabriquées à La Bastide, avec du limon de la Garonne, et cuites grâce à deux fours. La pierre est extraite des carrières de Saint-Macaire. Son durcissement au contact de l'air et de l'eau lui a donné une grande résistance. Jusqu’en 1965, il fut l’unique axe de franchissement de la Garonne à Bordeaux.
Ouvert en mars 2013, le dernier né des ponts de Bordeaux relie les quartiers de Bacalan et de la Bastide. Ce colosse fait d’acier, a changé les accès à ces deux quartiers. Le pont Jacques-Chaban-Delmas, à Bordeaux, est un pont levant franchissant la Garonne entre le pont de pierre et le pont d'Aquitaine. Il se situe dans le prolongement de la rue Lucien-Faure et relie le quai de Bacalan au quai de Brazza, au nord de La Bastide, d'où son nom initial de pont Bacalan-Bastide. Certains voulaient le baptiser « pont BA-BA ». Le pont présente une longueur totale de 575 mètres avec 433 mètres de pont principal et 117 mètres de travée levante permettant de préserver les trafics maritime, fluvial et événementiel pour les navires venant de, ou partant vers l’océan Atlantique par l’estuaire de la Gironde. Les pylônes en acier du pont, protégés d'éventuels chocs par des îlots de béton en amont et en aval présentent une hauteur de 77 mètres. Ils permettent un tirant d'air similaire à celui du pont d'Aquitaine en position haute, soit 55 mètres au-dessus du lit de la Garonne, et à celui du pont de Pierre en position basse, soit 13 mètres. La distance entre les pylônes est de 110 mètres. La largeur du pont varie de 32 à 45 mètres suivant les différentes sections. La largeur utile est de 27 mètres avec 15 mètres utilisés par le transport en commun en site propre, les piétons et les deux-roues et 12 mètres pour les véhicules légers et les poids lourds. Les pistes cyclables et piétonnes sont séparées de la circulation des véhicules à moteurs. Ainsi cette circulation douce s'effectue à l'extérieur des pylônes du pont. Le pont est configuré pour 43 000 véhicules par jour au maximum. En service, il est prévu que le pont se lève environ soixante fois par an, immobilisant la circulation pendant une heure environ.
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Jacques Chaban Delmas hídja
Pont Jacques Chaban Delmas
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Ouvert en mars 2013, le dernier né des ponts de Bordeaux relie les quartiers de Bacalan et de la Bastide. Ce colosse fait d’acier, a changé les accès à ces deux quartiers. Le pont Jacques-Chaban-Delmas, à Bordeaux, est un pont levant franchissant la Garonne entre le pont de pierre et le pont d'Aquitaine. Il se situe dans le prolongement de la rue Lucien-Faure et relie le quai de Bacalan au quai de Brazza, au nord de La Bastide, d'où son nom initial de pont Bacalan-Bastide. Certains voulaient le baptiser « pont BA-BA ». Le pont présente une longueur totale de 575 mètres avec 433 mètres de pont principal et 117 mètres de travée levante permettant de préserver les trafics maritime, fluvial et événementiel pour les navires venant de, ou partant vers l’océan Atlantique par l’estuaire de la Gironde. Les pylônes en acier du pont, protégés d'éventuels chocs par des îlots de béton en amont et en aval présentent une hauteur de 77 mètres. Ils permettent un tirant d'air similaire à celui du pont d'Aquitaine en position haute, soit 55 mètres au-dessus du lit de la Garonne, et à celui du pont de Pierre en position basse, soit 13 mètres. La distance entre les pylônes est de 110 mètres. La largeur du pont varie de 32 à 45 mètres suivant les différentes sections. La largeur utile est de 27 mètres avec 15 mètres utilisés par le transport en commun en site propre, les piétons et les deux-roues et 12 mètres pour les véhicules légers et les poids lourds. Les pistes cyclables et piétonnes sont séparées de la circulation des véhicules à moteurs. Ainsi cette circulation douce s'effectue à l'extérieur des pylônes du pont. Le pont est configuré pour 43 000 véhicules par jour au maximum. En service, il est prévu que le pont se lève environ soixante fois par an, immobilisant la circulation pendant une heure environ.
Le pont d'Aquitaine est un pont suspendu situé sur la rocade de Bordeaux, à l’arrivée en direction de Paris par l’A10. Il relie les villes de Lormont et de Bordeaux par-dessus la Garonne. Le pont fut terminé en 1967 et a une portée de 394 m pour une longueur de 1 767 m. C'est le dernier pont sur la Garonne avant son estuaire, la Gironde, et l'océan Atlantique. Deuxième plus grand pont suspendu français après celui de Tancarville, il est prolongé, sur la rive gauche, par un viaduc de 1 014 m. Sa construction s’inscrit dans la longue histoire cahotique de l’implantation des ponts à Bordeaux, entravée par les difficultés topographiques (largeur du fleuve, profondeur, courant, débit...) ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Garonne) et les événements historiques (les deux guerres mondiales) ayant entravé les projets. Jusqu’en 1967 et son inauguration, Bordeaux n’avait qu’un seul pont pour franchir la Garonne et se rendre « de l’autre côté de l’eau » comme on le dit ici... Le premier pont de la ville de Bordeaux — le pont de pierre —, construit sur ordre de Napoléon, ne fut achevé qu’en 1822. Dès le second Empire, celui-ci était déjà considéré comme insuffisant pour permettre à la ville de se développer normalement. À partir de 1891, les études se multiplièrent pour aboutir, en 1909, au choix d’un pont transbordeur dont la construction fut confiée à la Sté Cail-Fives-Lille. Le président de la république, Armand Fallières, en posa la première pierre le 19 septembre 1910[1]. En 1914, seuls les pylônes étaient construits, la guerre interrompit les travaux qui ne furent pas repris ; ce type d’ouvrage était désormais obsolète. On reprit alors les études et, en 1939, la solution fut enfin trouvée : il suffisait de démolir le pont de pierre et de lui substituer un nouveau pont suffisamment large. Cette idée fut entérinée par la décision ministérielle du 3 décembre 1941. Les circonstances ne permirent pas son exécution et le pire fut ainsi évité[1]. En 1949, l'État, la ville de Bordeaux, les collectivités intéressées reconnurent qu'il était plus sage de faire un nouveau pont, mais le choix de son emplacement posait une difficulté majeure. Au printemps de 1953, on décida, en attendant mieux, de porter à quatre voies la chaussée du pont de pierre, ce qui pouvait se faire sans modifications notables et moyennant une faible dépense. Les travaux, rapidement menés, furent terminés en 1954. La même année, le maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, devint ministre des Travaux Publics et, dès le 13 août 1954, la décision de principe de construire le pont suspendu était prise. Le ministre des Travaux Publics, Robert Buron, en posa la première pierre le 20 mai 1960[1]. Commencés en 1961, les travaux se sont étalés sur six ans. L'ouvrage fut inauguré officiellement le 6 mai 1967, sous la présidence du ministre des Travaux Publics de l'époque. Le tablier : Le tablier est à 53 m au-dessus de la Garonne et les pylônes culminent à 103 m. Sa largeur utile est de 20 m et sa surface utile de 13 600 m2[2]. La suspension : La suspension (en acier non galvanisé) est constituée de deux faisceaux à section hexagonale comprenant 37 torons de 72,6 mm de diamètre. Chacun des torons élémentaires comprend six couches de fils ronds de 4,1 mm de diamètre (127 fils). Les 64 suspentes, espacées de 9,95 m d’axe en axe, sont constituées par deux câbles à double brin de 56 mm de diamètre, eux-mêmes constitués de 139 fils ronds de 4,1 mm de diamètre[3]. Les pylônes : Les pylônes, de 103 m de hauteur, sont constitués chacun d’eux de deux montants creux de 4 m transversalement, 5,3 m en base à 3,3 m au sommet. Les montants sont reliés par deux traverses à hauteur du tablier et en partie supérieure. À faire (original !!) : Itinéraire pour s’y rendre : prendre Le bateau "navy bat" (tram fluvial) depuis la place Stalingrad jusqu’à son terminus Lormont-bas, au pied du pont. Une expérience de navigation unique pour admirer les quais sous un autre angle. Bistrots et restaurants le long du quai. Retour par le même chemin.
Pont d'Aquitaine
Le pont d'Aquitaine est un pont suspendu situé sur la rocade de Bordeaux, à l’arrivée en direction de Paris par l’A10. Il relie les villes de Lormont et de Bordeaux par-dessus la Garonne. Le pont fut terminé en 1967 et a une portée de 394 m pour une longueur de 1 767 m. C'est le dernier pont sur la Garonne avant son estuaire, la Gironde, et l'océan Atlantique. Deuxième plus grand pont suspendu français après celui de Tancarville, il est prolongé, sur la rive gauche, par un viaduc de 1 014 m. Sa construction s’inscrit dans la longue histoire cahotique de l’implantation des ponts à Bordeaux, entravée par les difficultés topographiques (largeur du fleuve, profondeur, courant, débit...) ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Garonne) et les événements historiques (les deux guerres mondiales) ayant entravé les projets. Jusqu’en 1967 et son inauguration, Bordeaux n’avait qu’un seul pont pour franchir la Garonne et se rendre « de l’autre côté de l’eau » comme on le dit ici... Le premier pont de la ville de Bordeaux — le pont de pierre —, construit sur ordre de Napoléon, ne fut achevé qu’en 1822. Dès le second Empire, celui-ci était déjà considéré comme insuffisant pour permettre à la ville de se développer normalement. À partir de 1891, les études se multiplièrent pour aboutir, en 1909, au choix d’un pont transbordeur dont la construction fut confiée à la Sté Cail-Fives-Lille. Le président de la république, Armand Fallières, en posa la première pierre le 19 septembre 1910[1]. En 1914, seuls les pylônes étaient construits, la guerre interrompit les travaux qui ne furent pas repris ; ce type d’ouvrage était désormais obsolète. On reprit alors les études et, en 1939, la solution fut enfin trouvée : il suffisait de démolir le pont de pierre et de lui substituer un nouveau pont suffisamment large. Cette idée fut entérinée par la décision ministérielle du 3 décembre 1941. Les circonstances ne permirent pas son exécution et le pire fut ainsi évité[1]. En 1949, l'État, la ville de Bordeaux, les collectivités intéressées reconnurent qu'il était plus sage de faire un nouveau pont, mais le choix de son emplacement posait une difficulté majeure. Au printemps de 1953, on décida, en attendant mieux, de porter à quatre voies la chaussée du pont de pierre, ce qui pouvait se faire sans modifications notables et moyennant une faible dépense. Les travaux, rapidement menés, furent terminés en 1954. La même année, le maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, devint ministre des Travaux Publics et, dès le 13 août 1954, la décision de principe de construire le pont suspendu était prise. Le ministre des Travaux Publics, Robert Buron, en posa la première pierre le 20 mai 1960[1]. Commencés en 1961, les travaux se sont étalés sur six ans. L'ouvrage fut inauguré officiellement le 6 mai 1967, sous la présidence du ministre des Travaux Publics de l'époque. Le tablier : Le tablier est à 53 m au-dessus de la Garonne et les pylônes culminent à 103 m. Sa largeur utile est de 20 m et sa surface utile de 13 600 m2[2]. La suspension : La suspension (en acier non galvanisé) est constituée de deux faisceaux à section hexagonale comprenant 37 torons de 72,6 mm de diamètre. Chacun des torons élémentaires comprend six couches de fils ronds de 4,1 mm de diamètre (127 fils). Les 64 suspentes, espacées de 9,95 m d’axe en axe, sont constituées par deux câbles à double brin de 56 mm de diamètre, eux-mêmes constitués de 139 fils ronds de 4,1 mm de diamètre[3]. Les pylônes : Les pylônes, de 103 m de hauteur, sont constitués chacun d’eux de deux montants creux de 4 m transversalement, 5,3 m en base à 3,3 m au sommet. Les montants sont reliés par deux traverses à hauteur du tablier et en partie supérieure. À faire (original !!) : Itinéraire pour s’y rendre : prendre Le bateau "navy bat" (tram fluvial) depuis la place Stalingrad jusqu’à son terminus Lormont-bas, au pied du pont. Une expérience de navigation unique pour admirer les quais sous un autre angle. Bistrots et restaurants le long du quai. Retour par le même chemin.
La « passerelle Eiffel » ou « passerelle Saint-Jean » (par le tram C station « Ste-Croix ») est un ancien pont métallique ferroviaire situé sur la Garonne à Bordeaux. Construite de 1858 à 1860, elle a été conçue par Stanislas de Laroche-Tolay, avec Paul Régnauld, ingénieur en chef, et son jeune collaborateur Gustave Eiffel alors âgé de 26 ans - il construira par la suite la célèbrissime « Tour Eiffel » - qui assure la conduite des travaux. Ancienne passerelle du chemin de fer pour la ligne venant de Paris, elle a récemment été abandonnée au profit d’un pont moderne et fonctionnel capable de recevoir le passage des TGV. Dans le cadre du projet Euratlantique, le nouveau quartier autour de la gare St-Jean, la passerelle serait affectée à un usage pour piétons et cyclistes. Historiquement, la passerelle a permettait de relier les réseaux de deux compagnies ferroviaires : la Compagnie des Chemins de fer du Midi et la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans. Initialement les voyageurs devaient descendre à la gare d'Orléans située sur la rive droite de la Garonne et devaient rejoindre la gare Saint-Jean, située sur la rive gauche, par le pont de pierre ou en bateau. Gustave Eiffel va s'occuper en particulier des fondations de l'ouvrage en proposant son idée avec la technique de fondation à l'air comprimé lors de l'exécution des piles tubulaires (Procédé Triger). Or Gustave Eiffel est l'auteur d'une étude : Le fonçage par pression hydraulique des piles concernant cette nouvelle technique[3]. Cette réussite vaudra à Eiffel une première reconnaissance dans le milieu de la construction métallique. Gustave Eiffel (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gustave_Eiffel) réutilisera cette technique en particulier en 1887 pour la construction de la tour Eiffel. En effet côté Seine, les fondations de celle-ci étaient situées dans un ancien bras de la Seine comblé. Afin que les ouvriers puissent travailler dans de bonnes conditions, quatre caissons métalliques étanches à l'air comprimé furent utilisés. La passerelle présente une longueur de 509,69 mètres avec un tablier de 8,60 mètres de large. Elle repose sur 6 piles en maçonnerie et 2 culées pour l'accès de l'ouvrage. Le détail qui sauve : Gustave Eiffel, qui travaillait sur la passerelle, sauva la vie d'un ouvrier tombé dans la Garonne en plongeant dans le fleuve pour le sortir de l'eau avant qu'il se noie. NB : un autre pont routier à été construit par Gustave Eiffel dans la région entre 1879 et 1883 à Cubzac-les ponts, pour le franchissement de la Dordogne (à 30 km au bord de Bordeaux : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pont_routier_de_Cubzac ; vous pouvez facilement y faire une halte à l’occasion d’une visite à la citadelle de Blaye (voir le guide ci-dessous - rubrique « hors de Bordeaux ».
Passerelle Eiffel
La « passerelle Eiffel » ou « passerelle Saint-Jean » (par le tram C station « Ste-Croix ») est un ancien pont métallique ferroviaire situé sur la Garonne à Bordeaux. Construite de 1858 à 1860, elle a été conçue par Stanislas de Laroche-Tolay, avec Paul Régnauld, ingénieur en chef, et son jeune collaborateur Gustave Eiffel alors âgé de 26 ans - il construira par la suite la célèbrissime « Tour Eiffel » - qui assure la conduite des travaux. Ancienne passerelle du chemin de fer pour la ligne venant de Paris, elle a récemment été abandonnée au profit d’un pont moderne et fonctionnel capable de recevoir le passage des TGV. Dans le cadre du projet Euratlantique, le nouveau quartier autour de la gare St-Jean, la passerelle serait affectée à un usage pour piétons et cyclistes. Historiquement, la passerelle a permettait de relier les réseaux de deux compagnies ferroviaires : la Compagnie des Chemins de fer du Midi et la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans. Initialement les voyageurs devaient descendre à la gare d'Orléans située sur la rive droite de la Garonne et devaient rejoindre la gare Saint-Jean, située sur la rive gauche, par le pont de pierre ou en bateau. Gustave Eiffel va s'occuper en particulier des fondations de l'ouvrage en proposant son idée avec la technique de fondation à l'air comprimé lors de l'exécution des piles tubulaires (Procédé Triger). Or Gustave Eiffel est l'auteur d'une étude : Le fonçage par pression hydraulique des piles concernant cette nouvelle technique[3]. Cette réussite vaudra à Eiffel une première reconnaissance dans le milieu de la construction métallique. Gustave Eiffel (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gustave_Eiffel) réutilisera cette technique en particulier en 1887 pour la construction de la tour Eiffel. En effet côté Seine, les fondations de celle-ci étaient situées dans un ancien bras de la Seine comblé. Afin que les ouvriers puissent travailler dans de bonnes conditions, quatre caissons métalliques étanches à l'air comprimé furent utilisés. La passerelle présente une longueur de 509,69 mètres avec un tablier de 8,60 mètres de large. Elle repose sur 6 piles en maçonnerie et 2 culées pour l'accès de l'ouvrage. Le détail qui sauve : Gustave Eiffel, qui travaillait sur la passerelle, sauva la vie d'un ouvrier tombé dans la Garonne en plongeant dans le fleuve pour le sortir de l'eau avant qu'il se noie. NB : un autre pont routier à été construit par Gustave Eiffel dans la région entre 1879 et 1883 à Cubzac-les ponts, pour le franchissement de la Dordogne (à 30 km au bord de Bordeaux : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pont_routier_de_Cubzac ; vous pouvez facilement y faire une halte à l’occasion d’une visite à la citadelle de Blaye (voir le guide ci-dessous - rubrique « hors de Bordeaux ».

À l’extérieur de Bordeaux et au grand air

Il fait partie de la célèbre et prestigieuse trilogie bordelaise des « 3M » : MONTAIGNE, MONTESQUIEU et MAURIAC. Les trois écrivains majeurs dont Bordeaux s’enorgueillit. Le château de La Brède est situé dans la commune de La Brède, à quelques kilomètres de Bordeaux. L'écrivain et penseur Montesquieu naquit en ces lieux en 1689 et y rédigea la majeure partie de son œuvre. L'ensemble du domaine est classé monument historique le 7 mai 2008. Il a été construit à partir du XIVe siècle. Il s'agissait à l'origine d'un château fort de style gothique, pourvu d'un système défensif et entouré de fossés, plus tard mis en eau (au XVIe siècle). Charles-Louis de Secondat, baron de Montesquieu, y est né le 18 janvier 1689. Il y a vécu de manière régulière toute sa vie et rédigé nombre de ses ouvrages, dont « De l'esprit des lois ». Mais il y effectua aussi des transformations, notamment un jardin à la française, actuellement en cours de restauration, et un jardin à l'anglaise. On peut y voir la chambre de Montesquieu, conservée dans son état du xviiie siècle, et sa bibliothèque, dont les livres ont été transférés à la bibliothèque municipale de Bordeaux.
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La Brède kastélya
65 Av. du Château
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Il fait partie de la célèbre et prestigieuse trilogie bordelaise des « 3M » : MONTAIGNE, MONTESQUIEU et MAURIAC. Les trois écrivains majeurs dont Bordeaux s’enorgueillit. Le château de La Brède est situé dans la commune de La Brède, à quelques kilomètres de Bordeaux. L'écrivain et penseur Montesquieu naquit en ces lieux en 1689 et y rédigea la majeure partie de son œuvre. L'ensemble du domaine est classé monument historique le 7 mai 2008. Il a été construit à partir du XIVe siècle. Il s'agissait à l'origine d'un château fort de style gothique, pourvu d'un système défensif et entouré de fossés, plus tard mis en eau (au XVIe siècle). Charles-Louis de Secondat, baron de Montesquieu, y est né le 18 janvier 1689. Il y a vécu de manière régulière toute sa vie et rédigé nombre de ses ouvrages, dont « De l'esprit des lois ». Mais il y effectua aussi des transformations, notamment un jardin à la française, actuellement en cours de restauration, et un jardin à l'anglaise. On peut y voir la chambre de Montesquieu, conservée dans son état du xviiie siècle, et sa bibliothèque, dont les livres ont été transférés à la bibliothèque municipale de Bordeaux.
Situé sur les collines qui dominent la vallée de la Garonne à une trentaine de km au sud de Bordeaux vers la ville de Langon par l’A62, le domaine de Malagar est une propriété située sur la commune de Saint-Maixant. L'histoire de Malagar est intimement liée à l'écrivain François Mauriac (1885-1970) (l’un des « 3M » bordelais avec Montesquieu et Montaigne) pour qui Malagar fut une demeure familiale. Donné à la région Nouvelle-Aquitaine en 1985, le domaine accueille depuis 1986 l'association du Centre François-Mauriac de Malagar. Le « domaine de Malagarre » (signifiant « mauvaise garenne ») a été une ancienne propriété des Célestins de Verdelais, vendue à la Révolution française comme Bien National en 1792. Le domaine viticole est devenu la propriété de la famille Mauriac en 1843 lorsque Jean Mauriac, l'arrière-grand-père de François Mauriac, s'en est rendu acquéreur pour ses terres et son vignoble de 20 hectares[2]. L'écrivain est devenu à son tour propriétaire de Malagar en 1927. Ce domaine a été pour lui une maison de famille et un lieu d'inspiration où il avait l'habitude de séjourner chaque année. La cour intérieure au sud de la maison et le tilleul classé Arbre remarquable (2018). Le jardin et son allée de cyprès ont été inscrits au titre des monuments historiques par un arrêté du 1er août 1991. La propriété, quant à elle, a été classée par un arrêté du 12 décembre 1996 en raison du souvenir de l'écrivain et de plusieurs éléments bâtis tels que les chais, un puits, le pavillon et un pigeonnier. Ces arrêtés ont été remplacés par un classement le 1er février 2013 couvrant la totalité du domaine bâti et non bâti[1]. En tant que maison d'écrivain, le domaine de Malagar a obtenu le label des Maisons des Illustres en 2011 et a rejoint le réseau des Maisons d'écrivain en Nouvelle-Aquitaine[3],[4]. En 2018, le tilleul de la cour intérieure a été classé « Arbre remarquable ». Les quatre enfants de l'auteur ont légué la demeure au Conseil régional d'Aquitaine en 1985. La région y a créé une association en 1986 afin d'en faire un lieu de l'action culturelle en Nouvelle-Aquitaine, à partir de l'héritage littéraire et culturel de l'académicien. Les missions du Centre François-Mauriac sont de conserver et d'animer le Domaine de Malagar[5]. À ce titre, la région et le Centre François-Mauriac ont créé en 1985 un prix littéraire annuel, le prix François-Mauriac de la Région Nouvelle-Aquitaine[6] ».
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Domaine de Malagar - Centre Francois Mauriac
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Situé sur les collines qui dominent la vallée de la Garonne à une trentaine de km au sud de Bordeaux vers la ville de Langon par l’A62, le domaine de Malagar est une propriété située sur la commune de Saint-Maixant. L'histoire de Malagar est intimement liée à l'écrivain François Mauriac (1885-1970) (l’un des « 3M » bordelais avec Montesquieu et Montaigne) pour qui Malagar fut une demeure familiale. Donné à la région Nouvelle-Aquitaine en 1985, le domaine accueille depuis 1986 l'association du Centre François-Mauriac de Malagar. Le « domaine de Malagarre » (signifiant « mauvaise garenne ») a été une ancienne propriété des Célestins de Verdelais, vendue à la Révolution française comme Bien National en 1792. Le domaine viticole est devenu la propriété de la famille Mauriac en 1843 lorsque Jean Mauriac, l'arrière-grand-père de François Mauriac, s'en est rendu acquéreur pour ses terres et son vignoble de 20 hectares[2]. L'écrivain est devenu à son tour propriétaire de Malagar en 1927. Ce domaine a été pour lui une maison de famille et un lieu d'inspiration où il avait l'habitude de séjourner chaque année. La cour intérieure au sud de la maison et le tilleul classé Arbre remarquable (2018). Le jardin et son allée de cyprès ont été inscrits au titre des monuments historiques par un arrêté du 1er août 1991. La propriété, quant à elle, a été classée par un arrêté du 12 décembre 1996 en raison du souvenir de l'écrivain et de plusieurs éléments bâtis tels que les chais, un puits, le pavillon et un pigeonnier. Ces arrêtés ont été remplacés par un classement le 1er février 2013 couvrant la totalité du domaine bâti et non bâti[1]. En tant que maison d'écrivain, le domaine de Malagar a obtenu le label des Maisons des Illustres en 2011 et a rejoint le réseau des Maisons d'écrivain en Nouvelle-Aquitaine[3],[4]. En 2018, le tilleul de la cour intérieure a été classé « Arbre remarquable ». Les quatre enfants de l'auteur ont légué la demeure au Conseil régional d'Aquitaine en 1985. La région y a créé une association en 1986 afin d'en faire un lieu de l'action culturelle en Nouvelle-Aquitaine, à partir de l'héritage littéraire et culturel de l'académicien. Les missions du Centre François-Mauriac sont de conserver et d'animer le Domaine de Malagar[5]. À ce titre, la région et le Centre François-Mauriac ont créé en 1985 un prix littéraire annuel, le prix François-Mauriac de la Région Nouvelle-Aquitaine[6] ».
Le château de Montaigne se situe sur la commune de Saint-Michel-de-Montaigne, dans le département français de la Dordogne. Situé à 66 km et 55 min de Bordeaux, c'est une maison forte du xive siècle, qui fut la demeure familiale du philosophe et penseur de la Renaissance, Michel de Montaigne. La Tour de la librairie est classée Monument historique par arrêté du 28 mars 1952 alors que le reste du château est inscrit par arrêté du 29 octobre 2009. Propriété privée habitée, il ne se visite pas. Seule la tour, épargnée par les flammes lors de l’incendie de 1885, est ouverte à la visite. Montaigne en fit son refuge. Après avoir franchi le portail, on arrive dans une cour carrée entourée de remparts. La tour ronde de la « librairie » est le seul vestige du xvie siècle et est bien sûr l'objet de beaucoup d'attentions de la part des visiteurs, puisque c'est ici que séjourna Michel de Montaigne et qu'il y écrivit ses célèbres Essais. Construite en plein cœur d'un parc majestueux, dont les tracés ont été dessinés par le philosophe lui-même, la demeure avait été acquise en 1477 par l'arrière-grand-père de Montaigne, Ramon Eyquem, négociant bordelais, qui accédait ainsi au statut de « Seigneur de Montaigne », qu'il transmettra à ses enfants et petits-enfants. Michel de Montaigne par Daniel Dumonstier Le père de Michel, Pierre Eyquem, vint s'y installer avec sa famille, et le philosophe passa là une enfance studieuse — il parlait couramment le latin dès l'âge de sept ans —, avant d'aller poursuivre ses études au collège de Guyenne à Bordeaux. En 1554, Pierre Eyquem expose à son suzerain, l'archevêque de Bordeaux, qu'il avait fait construire un château et avait commencé à rendre le lieu « fort et assuré » et qu'il avait l'intention de le fortifier et de le mettre en état de défense avec tous les engins nécessaires. En 1584, Montaigne reçut en son château le roi de Navarre Henri de Bourbon, le futur Henri IV, à qui le liait une solide amitié, en même temps que Condé, Rohan, et Turenne. Henri IV l'avait déjà nommé Gentilhomme de sa Chambre par lettres patentes en 1577). C'est dans ce lieu au décor inchangé que Michel de Montaigne rédigea de 1571 à sa mort en 1592 ses célèbres Essais, œuvre majeure de l'humanisme de la Renaissance, fruit d'une vie de réflexion et de lecture. Ses considérations sont en permanence étayées de citations des classiques grecs et romains. Il s'en explique par l'inutilité de « redire plus mal ce qu'un autre a réussi à dire mieux avant lui ». Il travaillait dans une tour ronde, qu'il nommait sa « librairie », où cet extraordinaire observateur des méandres de l'esprit de ses congénères fit graver en lettres de feu sur les solives du plafond le fruit de ses réflexions et de ses lectures, nous laissant une véritable leçon de sagesse et le testament d'un humanisme universel, dont l'influence est encore réelle de nos jours. On peut y lire sur un des murs l'inscription suivante en latin : « L'an du Christ 1571, à l'âge de 38 ans, la veille des calendes de mars, anniversaire de sa naissance, Michel de Montaigne, depuis longtemps déjà ennuyé de l'esclavage de la Cour du Parlement et des charges publiques, se sentant encore dispos, vint à part se reposer sur le sein des doctes vierges, dans le calme et la sécurité. Il y franchira les jours qui lui restent à vivre. Espérant que le destin lui permettra de parfaire cette habitation, ces douces retraites paternelles, il les a consacrées à sa liberté, à sa tranquillité et à ses loisirs. » Montaigne écrit à propos de sa librairie dans Les Essais (III, 3) : « Chez moy, je me destourne un peu plus souvent à ma librairie, d'où, tout d'une main, je commande mon mesnage [...] Elle est au troisiesme estage d'une tour. Le premier, c'est ma chapelle, le second une chambre et sa suitte, où je me couche souvent, pour estre seul. Au-dessus, elle a une grande garderobe. C'estoit au temps passé, le lieu plus inutile de ma maison. Je passe là et la plupart des jours de ma vie, et la plupart des heures du jour. Je n'y suis jamais la nuict. [...] La figure en est ronde, et n'a de plat, que ce qu'il faut à ma table et à mon siege : et vient m'offrant en se courbant, d'une veuë, tous mes livres, rengez sur des pulpitres à cinq degrez tout à l'environ. Elle a trois veuës de riche et libre prospect, et seize pas de vuide en diametre. En hyver j'y suis moins continuellement : car ma maison est juchee sur un tertre, comme dit son nom : et n'a point de piece plus eventee que cette cy : qui me plaist d'estre un peu penible et à l'esquart, tant pour le fruit de l'exercice, que pour reculer de moy la presse. C'est là mon siege. » C'est dans une chambre de cette demeure, encore imprégnée de l'atmosphère de celui qui fut, outre un grand écrivain, conseiller de plusieurs rois, magistrat et maire de Bordeaux, que Michel de Montaigne s'éteignit le 13 septembre 1592. Une magnifique balade à la campagne pour s’échapper quelques instants de la ville.
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Château de Montaigne
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Le château de Montaigne se situe sur la commune de Saint-Michel-de-Montaigne, dans le département français de la Dordogne. Situé à 66 km et 55 min de Bordeaux, c'est une maison forte du xive siècle, qui fut la demeure familiale du philosophe et penseur de la Renaissance, Michel de Montaigne. La Tour de la librairie est classée Monument historique par arrêté du 28 mars 1952 alors que le reste du château est inscrit par arrêté du 29 octobre 2009. Propriété privée habitée, il ne se visite pas. Seule la tour, épargnée par les flammes lors de l’incendie de 1885, est ouverte à la visite. Montaigne en fit son refuge. Après avoir franchi le portail, on arrive dans une cour carrée entourée de remparts. La tour ronde de la « librairie » est le seul vestige du xvie siècle et est bien sûr l'objet de beaucoup d'attentions de la part des visiteurs, puisque c'est ici que séjourna Michel de Montaigne et qu'il y écrivit ses célèbres Essais. Construite en plein cœur d'un parc majestueux, dont les tracés ont été dessinés par le philosophe lui-même, la demeure avait été acquise en 1477 par l'arrière-grand-père de Montaigne, Ramon Eyquem, négociant bordelais, qui accédait ainsi au statut de « Seigneur de Montaigne », qu'il transmettra à ses enfants et petits-enfants. Michel de Montaigne par Daniel Dumonstier Le père de Michel, Pierre Eyquem, vint s'y installer avec sa famille, et le philosophe passa là une enfance studieuse — il parlait couramment le latin dès l'âge de sept ans —, avant d'aller poursuivre ses études au collège de Guyenne à Bordeaux. En 1554, Pierre Eyquem expose à son suzerain, l'archevêque de Bordeaux, qu'il avait fait construire un château et avait commencé à rendre le lieu « fort et assuré » et qu'il avait l'intention de le fortifier et de le mettre en état de défense avec tous les engins nécessaires. En 1584, Montaigne reçut en son château le roi de Navarre Henri de Bourbon, le futur Henri IV, à qui le liait une solide amitié, en même temps que Condé, Rohan, et Turenne. Henri IV l'avait déjà nommé Gentilhomme de sa Chambre par lettres patentes en 1577). C'est dans ce lieu au décor inchangé que Michel de Montaigne rédigea de 1571 à sa mort en 1592 ses célèbres Essais, œuvre majeure de l'humanisme de la Renaissance, fruit d'une vie de réflexion et de lecture. Ses considérations sont en permanence étayées de citations des classiques grecs et romains. Il s'en explique par l'inutilité de « redire plus mal ce qu'un autre a réussi à dire mieux avant lui ». Il travaillait dans une tour ronde, qu'il nommait sa « librairie », où cet extraordinaire observateur des méandres de l'esprit de ses congénères fit graver en lettres de feu sur les solives du plafond le fruit de ses réflexions et de ses lectures, nous laissant une véritable leçon de sagesse et le testament d'un humanisme universel, dont l'influence est encore réelle de nos jours. On peut y lire sur un des murs l'inscription suivante en latin : « L'an du Christ 1571, à l'âge de 38 ans, la veille des calendes de mars, anniversaire de sa naissance, Michel de Montaigne, depuis longtemps déjà ennuyé de l'esclavage de la Cour du Parlement et des charges publiques, se sentant encore dispos, vint à part se reposer sur le sein des doctes vierges, dans le calme et la sécurité. Il y franchira les jours qui lui restent à vivre. Espérant que le destin lui permettra de parfaire cette habitation, ces douces retraites paternelles, il les a consacrées à sa liberté, à sa tranquillité et à ses loisirs. » Montaigne écrit à propos de sa librairie dans Les Essais (III, 3) : « Chez moy, je me destourne un peu plus souvent à ma librairie, d'où, tout d'une main, je commande mon mesnage [...] Elle est au troisiesme estage d'une tour. Le premier, c'est ma chapelle, le second une chambre et sa suitte, où je me couche souvent, pour estre seul. Au-dessus, elle a une grande garderobe. C'estoit au temps passé, le lieu plus inutile de ma maison. Je passe là et la plupart des jours de ma vie, et la plupart des heures du jour. Je n'y suis jamais la nuict. [...] La figure en est ronde, et n'a de plat, que ce qu'il faut à ma table et à mon siege : et vient m'offrant en se courbant, d'une veuë, tous mes livres, rengez sur des pulpitres à cinq degrez tout à l'environ. Elle a trois veuës de riche et libre prospect, et seize pas de vuide en diametre. En hyver j'y suis moins continuellement : car ma maison est juchee sur un tertre, comme dit son nom : et n'a point de piece plus eventee que cette cy : qui me plaist d'estre un peu penible et à l'esquart, tant pour le fruit de l'exercice, que pour reculer de moy la presse. C'est là mon siege. » C'est dans une chambre de cette demeure, encore imprégnée de l'atmosphère de celui qui fut, outre un grand écrivain, conseiller de plusieurs rois, magistrat et maire de Bordeaux, que Michel de Montaigne s'éteignit le 13 septembre 1592. Une magnifique balade à la campagne pour s’échapper quelques instants de la ville.
Station balnéaire phare de la côte bordelaise, elle vous permettra de vous baigner en famille avec vos enfants en toute sécurité. En prime : de bons restaurants, dégustation d’huîtres et une visite pittoresque des villas majestueuses de la ville d’hiver. Et pourquoi pas un tour au Casino...?
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Arcachon
67 Bd de la Plage
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Station balnéaire phare de la côte bordelaise, elle vous permettra de vous baigner en famille avec vos enfants en toute sécurité. En prime : de bons restaurants, dégustation d’huîtres et une visite pittoresque des villas majestueuses de la ville d’hiver. Et pourquoi pas un tour au Casino...?
Entre Bassin d’Arcachon et Océan, « LA place où il faut être... ». Villas des stars et villages d’ostréiculteurs, cabanes de dégustation d’huîtres, grandes plages océaniques ( Le truc vert, la Pointe, le Grand Crohot), un phare pour une vue à couper le souffle, la presqu’île possède tous les atouts pour vous séduire même si les bouchons peuvent parfois vous contrarier en plénitude été. Un conseil : dînez sur place et rentrez tard, après l’affluence et à la fraîche ! J
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Lège-Cap-Ferret
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Entre Bassin d’Arcachon et Océan, « LA place où il faut être... ». Villas des stars et villages d’ostréiculteurs, cabanes de dégustation d’huîtres, grandes plages océaniques ( Le truc vert, la Pointe, le Grand Crohot), un phare pour une vue à couper le souffle, la presqu’île possède tous les atouts pour vous séduire même si les bouchons peuvent parfois vous contrarier en plénitude été. Un conseil : dînez sur place et rentrez tard, après l’affluence et à la fraîche ! J
Le phare de Cordouan est un phare qui vient juste en juillet 2020 d’être classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il est situé à sept kilomètres en mer sur le plateau de Cordouan, à l'embouchure de l'estuaire de la Gironde, estuaire formé par la confluence de la Garonne et de la Dordogne, donnant dans l'océan Atlantique. Il éclaire et sécurise fortement la circulation dans les deux passes permettant l'accès à l'estuaire : la grande passe de l'Ouest, balisée de nuit, qui longe le rivage nord depuis le banc de la Coubre, et la passe sud, plus étroite, et qui n'est pas balisée la nuit. Construit de la fin du xvie au début du xviie siècle, de 1584 à 1611[1], il est le plus ancien phare de France encore en activité[6]. Appelé parfois le « Versailles de la mer », le « phare des rois » ou encore le « roi des phares », il est le premier phare classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862[1]. L'accès n'est pratiquement possible (sauf exceptions) qu'à la mi-marée de jusant (marée descendante) par une poterne. La chaussée en pierre qui se découvre à ce moment-là mène à ladite poterne. Celle-ci est fermée quand la mer est haute au moyen d'une porte à deux vantaux en chêne massif se mouvant sur des pivots en bronze. Les visiteurs sont débarqués de leur embarcation à distance du banc de sable et sont transbordés dans de petits canots à fond plat (genre baleinières armées à l'aviron) : ceux-ci peuvent s'échouer sur le banc de sable du côté de la chaussée dallée. Après avoir franchi les quelque 25 marches en avant et en arrière de la poterne (7 et 18), les visiteurs pénètrent dans la cour intérieure de la plate-forme qu'entourent les logements des gardiens, les salles des machines, et les communs. À la sortie de la voûte de la poterne, des repères sur la maçonnerie, témoignent des hauteurs atteintes par la mer lorsque les vagues sont poussées par les vents de tempête : ainsi le raz-de-marée du 9 janvier 1924 où la mer a atteint 8,50 mètres au-dessus du zéro des cartes marines[17]. Le phare de Cordouan est une tour blanche haute de 68 mètres, en pierre blanche de Saintonge, d'un diamètre à la base de 16 mètres, placée à 7 km en mer sur le plateau de Cordouan, à égale distance des côtes de la Charente-Maritime et de la Gironde[1]. Son feu est situé à 60 mètres de hauteur[1]. Il est produit par une lampe halogène de 250 watts[3] : les extinctions périodiques sont programmées électroniquement, ce qui a permis de supprimer le cache et le mécanisme de rotation. Sa portée est de 22 milles marins pour le secteur blanc et de 18 pour les secteurs rouge et vert. C'est un feu à occultations (2 et 1) en douze secondes. Depuis 2012, les nouveaux gardiens, toujours par deux, assurent un rôle de maintenance à longueur d'année et de guide touristique pendant la saison estivale, alternant des « phases de quinze jours en mer puis quinze jours à terre, suivies d'une semaine en mer et une semaine à terre ». On s’y rend en bateau depuis Le Verdon : voir sur le livret d’accueil dans la maison.
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Cordouan világítótorony
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Le phare de Cordouan est un phare qui vient juste en juillet 2020 d’être classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il est situé à sept kilomètres en mer sur le plateau de Cordouan, à l'embouchure de l'estuaire de la Gironde, estuaire formé par la confluence de la Garonne et de la Dordogne, donnant dans l'océan Atlantique. Il éclaire et sécurise fortement la circulation dans les deux passes permettant l'accès à l'estuaire : la grande passe de l'Ouest, balisée de nuit, qui longe le rivage nord depuis le banc de la Coubre, et la passe sud, plus étroite, et qui n'est pas balisée la nuit. Construit de la fin du xvie au début du xviie siècle, de 1584 à 1611[1], il est le plus ancien phare de France encore en activité[6]. Appelé parfois le « Versailles de la mer », le « phare des rois » ou encore le « roi des phares », il est le premier phare classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862[1]. L'accès n'est pratiquement possible (sauf exceptions) qu'à la mi-marée de jusant (marée descendante) par une poterne. La chaussée en pierre qui se découvre à ce moment-là mène à ladite poterne. Celle-ci est fermée quand la mer est haute au moyen d'une porte à deux vantaux en chêne massif se mouvant sur des pivots en bronze. Les visiteurs sont débarqués de leur embarcation à distance du banc de sable et sont transbordés dans de petits canots à fond plat (genre baleinières armées à l'aviron) : ceux-ci peuvent s'échouer sur le banc de sable du côté de la chaussée dallée. Après avoir franchi les quelque 25 marches en avant et en arrière de la poterne (7 et 18), les visiteurs pénètrent dans la cour intérieure de la plate-forme qu'entourent les logements des gardiens, les salles des machines, et les communs. À la sortie de la voûte de la poterne, des repères sur la maçonnerie, témoignent des hauteurs atteintes par la mer lorsque les vagues sont poussées par les vents de tempête : ainsi le raz-de-marée du 9 janvier 1924 où la mer a atteint 8,50 mètres au-dessus du zéro des cartes marines[17]. Le phare de Cordouan est une tour blanche haute de 68 mètres, en pierre blanche de Saintonge, d'un diamètre à la base de 16 mètres, placée à 7 km en mer sur le plateau de Cordouan, à égale distance des côtes de la Charente-Maritime et de la Gironde[1]. Son feu est situé à 60 mètres de hauteur[1]. Il est produit par une lampe halogène de 250 watts[3] : les extinctions périodiques sont programmées électroniquement, ce qui a permis de supprimer le cache et le mécanisme de rotation. Sa portée est de 22 milles marins pour le secteur blanc et de 18 pour les secteurs rouge et vert. C'est un feu à occultations (2 et 1) en douze secondes. Depuis 2012, les nouveaux gardiens, toujours par deux, assurent un rôle de maintenance à longueur d'année et de guide touristique pendant la saison estivale, alternant des « phases de quinze jours en mer puis quinze jours à terre, suivies d'une semaine en mer et une semaine à terre ». On s’y rend en bateau depuis Le Verdon : voir sur le livret d’accueil dans la maison.
La citadelle de Blaye (59 min - 56 km) est un complexe militaire de 25 hectares bâti entre 1685 et 1689 par l'architecte militaire François Ferry, directeur général des fortifications de Guyenne, sous la supervision de Vauban[2]. Dominant l'estuaire de la Gironde, elle se situe dans la commune de Blaye, dans le nord du département de la Gironde, en France. Elle forme un vaste ensemble fortifié entouré de courtines, complété par quatre bastions et trois demi-lunes. L'intérieur est conçu comme une véritable caserne s'articulant autour d'une place d'armes, d'un couvent abritant autrefois des religieux de l'ordre des Minimes, et de plusieurs casernements destinés au logement de la troupe. Plusieurs éléments des fortifications médiévales sont conservés dans le nouvel ensemble, parmi lesquels le château des Rudel (xiie siècle), la porte de Liverneuf (xiiie siècle) ou la tour de l'Éguillette (xve siècle)[3]. Conçue pour contrôler la navigation sur l'estuaire, la citadelle est complétée par le fort Paté, sur l'île Paté, et par le fort Médoc, situé sur la rive opposée de la Gironde[4], l'ensemble est alors dénommé « verrou de l'estuaire ». Elle est intégralement classée monument historique le 11 mai 2009[1], elle est également l'un des douze sites intégrés au Réseau des sites majeurs de Vauban et est à ce titre inscrite le 7 juillet 2008 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco[5],[6],[7]. Elle est classée depuis le 20 décembre 2010 comme étant un site majeur d'Aquitaine[8].
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Blaye erőd
La Citadelle
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La citadelle de Blaye (59 min - 56 km) est un complexe militaire de 25 hectares bâti entre 1685 et 1689 par l'architecte militaire François Ferry, directeur général des fortifications de Guyenne, sous la supervision de Vauban[2]. Dominant l'estuaire de la Gironde, elle se situe dans la commune de Blaye, dans le nord du département de la Gironde, en France. Elle forme un vaste ensemble fortifié entouré de courtines, complété par quatre bastions et trois demi-lunes. L'intérieur est conçu comme une véritable caserne s'articulant autour d'une place d'armes, d'un couvent abritant autrefois des religieux de l'ordre des Minimes, et de plusieurs casernements destinés au logement de la troupe. Plusieurs éléments des fortifications médiévales sont conservés dans le nouvel ensemble, parmi lesquels le château des Rudel (xiie siècle), la porte de Liverneuf (xiiie siècle) ou la tour de l'Éguillette (xve siècle)[3]. Conçue pour contrôler la navigation sur l'estuaire, la citadelle est complétée par le fort Paté, sur l'île Paté, et par le fort Médoc, situé sur la rive opposée de la Gironde[4], l'ensemble est alors dénommé « verrou de l'estuaire ». Elle est intégralement classée monument historique le 11 mai 2009[1], elle est également l'un des douze sites intégrés au Réseau des sites majeurs de Vauban et est à ce titre inscrite le 7 juillet 2008 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco[5],[6],[7]. Elle est classée depuis le 20 décembre 2010 comme étant un site majeur d'Aquitaine[8].
Magnifique village médiéval qui vous enchantera pour ses déambulations pédestres, son église monolithe, et bien entendu, ses. crus prestigieux à déguster en visitant les nombreux châteaux de la route des vins. À ne pas manquer : poussez un peu plus loin vers les’vignobles de Pomerol et de Sauternes : visites des châteaux « Petrus » et  « Yquem » (Les Rolls-Royce de ces deux appellations)
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Saint-Émilion
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Magnifique village médiéval qui vous enchantera pour ses déambulations pédestres, son église monolithe, et bien entendu, ses. crus prestigieux à déguster en visitant les nombreux châteaux de la route des vins. À ne pas manquer : poussez un peu plus loin vers les’vignobles de Pomerol et de Sauternes : visites des châteaux « Petrus » et  « Yquem » (Les Rolls-Royce de ces deux appellations)
Le principal spot de vol libre du département. Baptêmes possibles : voir le livret d’accueil.
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Pilat-dűne
Av. de Biscarrosse
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Le principal spot de vol libre du département. Baptêmes possibles : voir le livret d’accueil.
Le Tour du Bassin d’Arcachon à vélo – Du Cap-Ferret à la Dune du Pilat 33970 LEGE-CAP-FERRET Calculer mon itinéraire Distance : 64 km Temps : 5h30 Mode de locomation : à vélo (https://www.gironde-tourisme.fr/itineraires/le-tour-du-bassin-darcachon-a-velo-du-cap-ferret-a-la-dune-du-pilat/) ou encore (https://bassin-arcachon.com/circuit/tour-bassin-darcachon : Préparez-vous à découvrir une multitude de paysages en traversant les 10 communes du Bassin d’Arcachon. Empruntez le bateau depuis Lège-Cap Ferret pour rejoindre Arcachon. Une journée sportive et unique vous attend ! (Chargez l’appli)
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Arcachon Bay
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Le Tour du Bassin d’Arcachon à vélo – Du Cap-Ferret à la Dune du Pilat 33970 LEGE-CAP-FERRET Calculer mon itinéraire Distance : 64 km Temps : 5h30 Mode de locomation : à vélo (https://www.gironde-tourisme.fr/itineraires/le-tour-du-bassin-darcachon-a-velo-du-cap-ferret-a-la-dune-du-pilat/) ou encore (https://bassin-arcachon.com/circuit/tour-bassin-darcachon : Préparez-vous à découvrir une multitude de paysages en traversant les 10 communes du Bassin d’Arcachon. Empruntez le bateau depuis Lège-Cap Ferret pour rejoindre Arcachon. Une journée sportive et unique vous attend ! (Chargez l’appli)

Parcs et jardins

Pour une pause dans le calme et la verdure en plein cœur de Bordeaux. Et pour le muséum d’histoire naturelle (voir la rubrique « musées »). À noter pour les enfants : le bateau historique du Jardin Public le “Petit mousse” navigue à nouveau depuis le 26 juillet 2021 sur le plan d’eau du parc. Depuis quinze ans, il était à l’arrêt après avoir navigué pendant 113 ans. Il fera le bonheur des petits et des grands. Avec le « théâtre de guignol » du parc bordelais, il est une institution emblématique qui berce la mémoire enfantine de milliers de bordelais.
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Jardin Public
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Pour une pause dans le calme et la verdure en plein cœur de Bordeaux. Et pour le muséum d’histoire naturelle (voir la rubrique « musées »). À noter pour les enfants : le bateau historique du Jardin Public le “Petit mousse” navigue à nouveau depuis le 26 juillet 2021 sur le plan d’eau du parc. Depuis quinze ans, il était à l’arrêt après avoir navigué pendant 113 ans. Il fera le bonheur des petits et des grands. Avec le « théâtre de guignol » du parc bordelais, il est une institution emblématique qui berce la mémoire enfantine de milliers de bordelais.
Un havre de paix et de verdure, paradis des promeneurs et des joggueur, le parc bordelais, conçu comme une promenade publique du 19e siècle, parc historique de 28 ha est planté d'environ 3 000 arbres dont un millier est plus que centenaire. De nombreuses attractions sont prévues pour les enfants : un parc avec les animaux de la ferme de races locales, des cygnes et des canards, un petit train, des voitures électriques, des manèges, des balançoires et un théâtre de marionnettes (« le guignol GUERIN » qui enchantera les enfants) ainsi que des aires de jeux et un grand bassin d’1,2 hectare de superficie. Quelques statues dont l’Enlèvement d'Iphigénie par Diane de Félix Soules appartenant au Musée d’Orsay de Paris et le buste de Camille Godart inauguré en 1889. Intégralement réhabilité entre 2004 et 2006 avec l'architecte-paysagiste Françoise Phiquepal, il s'agit aujourd'hui d'une véritable campagne recréée. Une petite forêt essentiellement composée de chênes s'épanouit dans le nord-est du parc. Celle-ci est découpée selon un plan géométrique à la manière des anciens domaines de chasse. Il existe également une petite ferme qui accueille différentes races d'animaux d'élevage du Sud Ouest. Le Parc Bordelais est structuré par une allée de promenade de 11 mètres de large prévue à l'origine pour être empruntée par des voitures à chevaux. Cependant on trouve de nombreuses autres allées moins larges.
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Parc Bordelais
Rue du Bocage
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Un havre de paix et de verdure, paradis des promeneurs et des joggueur, le parc bordelais, conçu comme une promenade publique du 19e siècle, parc historique de 28 ha est planté d'environ 3 000 arbres dont un millier est plus que centenaire. De nombreuses attractions sont prévues pour les enfants : un parc avec les animaux de la ferme de races locales, des cygnes et des canards, un petit train, des voitures électriques, des manèges, des balançoires et un théâtre de marionnettes (« le guignol GUERIN » qui enchantera les enfants) ainsi que des aires de jeux et un grand bassin d’1,2 hectare de superficie. Quelques statues dont l’Enlèvement d'Iphigénie par Diane de Félix Soules appartenant au Musée d’Orsay de Paris et le buste de Camille Godart inauguré en 1889. Intégralement réhabilité entre 2004 et 2006 avec l'architecte-paysagiste Françoise Phiquepal, il s'agit aujourd'hui d'une véritable campagne recréée. Une petite forêt essentiellement composée de chênes s'épanouit dans le nord-est du parc. Celle-ci est découpée selon un plan géométrique à la manière des anciens domaines de chasse. Il existe également une petite ferme qui accueille différentes races d'animaux d'élevage du Sud Ouest. Le Parc Bordelais est structuré par une allée de promenade de 11 mètres de large prévue à l'origine pour être empruntée par des voitures à chevaux. Cependant on trouve de nombreuses autres allées moins larges.
A l’intérieur de sa palissade en bois faite de 1 200 m3 de chênes de Charente abattus par la tempête de 1999, le Jardin botanique s’organise autour de six espaces. Ses champs de culture regroupent 44 parcelles sur 12 110 m2. Ils présentent des extraits de cultures du monde : blé, avoine, lin et millet. Leur arrosage, économique, s'inspire des techniques d'irrigation des pays sahéliens. Sa galerie des milieux, avec ses jardins hors sol, reconstitue 11 paysages du Bassin aquitain : dune, falaise calcaire, prairie humide, pelouse, landes, sur 13 500 m2. Son allée des plantes invite à la promenade sur 2 500 m2, entre lianes, vignes et autres plantes grimpantes cultivées sur des supports inattendus. Son sentier des pionnières abrite des plantes ainsi dénommées parce qu’elles ont la particularité de coloniser les terres pauvres. Son jardin aquatique, plan d’eau d’un hectare, est sillonné d’allées et présente une grande diversité d’espèces. Enfin, son ensemble d’espaces communautaires complète le paysage, des parcelles accessibles à tous et notamment aux riverains. La mise en oeuvre de cette idée est une première en France. Le Jardin botanique implique d’ailleurs étroitement les populations riveraines avec ses parcelles cultivées par les enfants des écoles et ses espaces ouverts aux étudiants (Ecole d'architecture et de paysage de Bordeaux, universités...). Idéal pour promener les enfants tout en se cultivant.
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Jardin Botanique
Esplanade Linné
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A l’intérieur de sa palissade en bois faite de 1 200 m3 de chênes de Charente abattus par la tempête de 1999, le Jardin botanique s’organise autour de six espaces. Ses champs de culture regroupent 44 parcelles sur 12 110 m2. Ils présentent des extraits de cultures du monde : blé, avoine, lin et millet. Leur arrosage, économique, s'inspire des techniques d'irrigation des pays sahéliens. Sa galerie des milieux, avec ses jardins hors sol, reconstitue 11 paysages du Bassin aquitain : dune, falaise calcaire, prairie humide, pelouse, landes, sur 13 500 m2. Son allée des plantes invite à la promenade sur 2 500 m2, entre lianes, vignes et autres plantes grimpantes cultivées sur des supports inattendus. Son sentier des pionnières abrite des plantes ainsi dénommées parce qu’elles ont la particularité de coloniser les terres pauvres. Son jardin aquatique, plan d’eau d’un hectare, est sillonné d’allées et présente une grande diversité d’espèces. Enfin, son ensemble d’espaces communautaires complète le paysage, des parcelles accessibles à tous et notamment aux riverains. La mise en oeuvre de cette idée est une première en France. Le Jardin botanique implique d’ailleurs étroitement les populations riveraines avec ses parcelles cultivées par les enfants des écoles et ses espaces ouverts aux étudiants (Ecole d'architecture et de paysage de Bordeaux, universités...). Idéal pour promener les enfants tout en se cultivant.

Marchés

C’est le marché "historique" et le plus grand de la ville de Bordeaux. Installé sous une halle rénovée (place des Capucins accès : tram B - arrêt "Victoire"). Ouvert TLJ de 7:00 à 12:00, on y trouve tous les produits frais et de proximité. Stands de dégustation d’huîtres. Véritable institution, l’histoire « des Capu » se confond avec l’histoire de Bordeaux et de ceux qui la nourrissent depuis des siècles. Une série délicieuse à la sauce bordelaise… Historique : Le marché des Capucins tire son nom de la Congrégation de religieux mendiants fondée en 1525 à Spolète en Italie, et rattachée à l’ordre de Saint-François. Dès leur arrivée les Capucins, qui doivent leur nom à la robe brune terminée par une « capuce », sorte de capuchon pointu, s’attachent à évangéliser tout ce monde et à transformer ce quartier de débauches en jardins et terrasses. Le premier marché hebdomadaire s’y est tenu le 2 octobre 1749, sous l’impulsion du marquis de Tourny qui a entrepris de gros travaux du quartier. Jusqu’en 1857 le quartier devient de plus en plus alimentaire, et autour du marché de bétail des artisans s’installent et les premières familles de commerce se transmettent de génération en génération le savoir-faire d’herboristes, de cordonniers, de couvreurs, de charpentiers, de forgerons, de drapiers etc. Desservi par des omnibus à chevaux, il sera couvert par une halle en 1881 et deviendra alors le symbole du grand marché de Bordeaux. Avec cette construction, qui doit beaucoup à Baltard, débute l’histoire de la Halle des Capucins, d’un marché débordant d’activités jusque dans les rues et quartiers des alentours.
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Marche des Capucins
Place des Capucins
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C’est le marché "historique" et le plus grand de la ville de Bordeaux. Installé sous une halle rénovée (place des Capucins accès : tram B - arrêt "Victoire"). Ouvert TLJ de 7:00 à 12:00, on y trouve tous les produits frais et de proximité. Stands de dégustation d’huîtres. Véritable institution, l’histoire « des Capu » se confond avec l’histoire de Bordeaux et de ceux qui la nourrissent depuis des siècles. Une série délicieuse à la sauce bordelaise… Historique : Le marché des Capucins tire son nom de la Congrégation de religieux mendiants fondée en 1525 à Spolète en Italie, et rattachée à l’ordre de Saint-François. Dès leur arrivée les Capucins, qui doivent leur nom à la robe brune terminée par une « capuce », sorte de capuchon pointu, s’attachent à évangéliser tout ce monde et à transformer ce quartier de débauches en jardins et terrasses. Le premier marché hebdomadaire s’y est tenu le 2 octobre 1749, sous l’impulsion du marquis de Tourny qui a entrepris de gros travaux du quartier. Jusqu’en 1857 le quartier devient de plus en plus alimentaire, et autour du marché de bétail des artisans s’installent et les premières familles de commerce se transmettent de génération en génération le savoir-faire d’herboristes, de cordonniers, de couvreurs, de charpentiers, de forgerons, de drapiers etc. Desservi par des omnibus à chevaux, il sera couvert par une halle en 1881 et deviendra alors le symbole du grand marché de Bordeaux. Avec cette construction, qui doit beaucoup à Baltard, débute l’histoire de la Halle des Capucins, d’un marché débordant d’activités jusque dans les rues et quartiers des alentours.
Ce marché se tient tous les dimanches matin sûr les quais de la Garonne. Très couru des bordelais, de nombreux stands « bio » et de produits régionaux vous y attendent. Vous pourrez y déguster des huîtres en appréciant un verre de vin blanc sec de Bordeaux dans le cadre majestueux du "port de la lune" en admirant les façades des quais et en regardant couler la Garonne, avant d’aller visiter, à deux pas, la cité des vins par exemple.
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Marché des Quais de Bordeaux Chartrons
157 Quai des Chartrons
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Ce marché se tient tous les dimanches matin sûr les quais de la Garonne. Très couru des bordelais, de nombreux stands « bio » et de produits régionaux vous y attendent. Vous pourrez y déguster des huîtres en appréciant un verre de vin blanc sec de Bordeaux dans le cadre majestueux du "port de la lune" en admirant les façades des quais et en regardant couler la Garonne, avant d’aller visiter, à deux pas, la cité des vins par exemple.
Marché de proximité installé sur la place de la 5° République à Pessac le samedi et tout à côté de là, sur l’esplanade du parc Pompidou, rue Roger Chaumet le dimanche (à 4,5 km et 10 min en voiture), ce vaste marché particulièrement coloré et animé, très attractif, offre des étals variés pour des produits de qualité et pour beaucoup, de proximité.
MARCHÉ
7-1 Av. Pierre Wiehn
Marché de proximité installé sur la place de la 5° République à Pessac le samedi et tout à côté de là, sur l’esplanade du parc Pompidou, rue Roger Chaumet le dimanche (à 4,5 km et 10 min en voiture), ce vaste marché particulièrement coloré et animé, très attractif, offre des étals variés pour des produits de qualité et pour beaucoup, de proximité.